La suite, encore du suspense, vous allez encore ma hair je sent AHAHA dsl ><
PDV HongkiIl voulait me raccompagner chez moi, mais moi je voulais pas alors quand il a eu le dos tourné je me suis mis a courir. Je ne sais pas combien de temps j'ai courut mais quand je suis arrivé vers chez elle j'ai enfin repris mon souffle.
Le ciel a l'air encore plus étoilé qu'avant et les étoiles bougent, bougent, tournent tournent... ma tête tourna aussi l'alcool remonta et j'ai vomis dans le caniveau. Une fois baissé j'ai posé ma main contre le mur et j'ai fermé les yeux. L'alcool commence un peu a se dissiper, je deviens vraiment pitoyable. C'est ce que me répétais Heechul, encore et encore.
« Tu deviens grave ! Me disait il.
-Je la déteste, je la déteste ! Elle n'est même pas jolie !
-Ça fait une heure que tu me décris tout les bouts de sa personne et maintenant tu dis qu'elle est moche.
-Je ne montrait que ses mauvais coté, elle a cette façons d'être sur d'elle, toujours a tout savoir sur tout même jusqu'à savoir contrôlé ce que les gens ressentent, ce que JE ressent ! MOI ! Ah ! -Comment elle peut savoir !
-Tu l'a pas vu depuis quand ?
-Trois jours, ça fait trois jours... J'aimerai la voir... » Je me suis écrasé contre la table et j'ai continué a boire, jusqu'à ne plus pouvoir contrôlé tout ce que je disais. » Pauvre Hyung, il a dut en entendre des stupidités. Je me suis relevé, j'ai encore la tête qui tourne, le fond de la gorge remplis et les jambes lourdes mais j'arrive a avoir les pensées pas trop flou.
« Tu devrais lui dire, ce serait réglé ! » voilà aussi ce que m'a dit Hyung et depuis ça se répète encore et encore dans ma tête. Comme ses maudites chansons qui vous suivent du matin au soir. Il disait ça avec un petit sourire mais moi ça sonnait tellement faisable, j'ai tellement crut pouvoir le faire que je me suis levé, j'ai frappé la table et j'ai dis que maintenant j'allais aller la voir, mais hyung était contre. Il disait que vu mon état ce n'était pas une bonne idée, une très mauvaise idée. Il voulait que je rentre mais j'ai réussis a lui échapper et maintenant je suis en face de chez elle, tout est éteint sauf la salle du bas que je fixe comme une mouche devant la lumière. Si quelqu'un me vois il penserait a un zombie. Ça fait trois jours que je ne l'ai pas vu, trois jours que j'ai envie de la serrer et plein d'autre chose, trois jours que je veux la voir sourire a nouveau.
J'ai essayé comme j'ai put de la repousser, de la retirer de ma tête comme on retire un tumeur mais elle est toujours là et plus les secondes passent plus elle s'installe. Elle et ses sourires, elle et ses longues jambes, elle et ses phrases piquantes, ses clins d’œil, sa descente de rein, sa voie quand elle chuchote, ses pleures, tout ça c'est installé sans réellement me demander mon avis. Elle dit vouloir être seulement mon ami, ne rien vouloir être de plus, partir sans attache mais sans le savoir elle est déjà bien attaché a moi. Très attaché, tellement que je n'arrive pas a défaire ce foutu nœud. Comme si elle pouvait décider elle même, on est deux non ? En quoi elle peut décider pour moi ! Ça marche pas comme ça !
J'ai poussé le portail mouillé et j'ai monté les escaliers. Tout est trempé, je n'avais même pas entendu la pluie tombé pourtant j'ai les bras mouillés. J'ai frappé a la porte une fois puis deux. On alluma le couloir et on ouvrit la porte. J'ai d'abord vu ses chaussons blanc et bleu, puis ses jambes et son short en jersey que porte ses filles pour faire du fitness. J'ai ensuite vu son buste et ses épaules dessiné avant de voir son visage surprit. Elle me regardait comme un enfant qui reviens d'une fugue.
« Hongki ? Qu'est ce que tu fais là ? »
J'ai fait deux pas et j'ai attrapé ses bras pour la pousser contre le mur. Elle ouvrit en grand les yeux et je l'ai embrassé. Je ne sais pas si elle a essayé de me repousser. J'étais venu là pour lui parler mais la seule chose que j'arrive encore a faire c'est la serrer. Je fais encore exactement ce qu'elle attend de moi et après j'ose me plaindre. Mais Hongki bouge toi, parle si tu veux un changement.
Elle me poussa et me regarda fâché : « Tu put l'alcool ! » J'allais encore l'embrasser mais elle me poussa plus violemment et ajouta : « T'es chez ma mère là !
-Je sais ! Dis je, mais je suis là car... Car... » L'alcool remonta encore dans ma gorge et j'ai bouché ma bouche avec ma main. Elle écarquilla les yeux et me poussa jusque dans la cuisine. J'ai vomis dans l'évier je ne sais pas combien de toi alors qu'elle remontai mes cheveux en arrière et qu'elle passait ses mains de façons circulaire dans mon dos. Quand j'arrivais a la regardé elle avait un petit sourire ou j'étais peut être seulement trop saoul.
« Assis toi ! Me dit elle. » Alors je me suis laissé tombé au sol, le dos contre le meuble de cuisine, la tête contre une poignée en fer. Je fixais ses pieds et je comprenais pas ce que je faisait là. J'aurai aimé me relever et partir mais je n'arrivais plus a faire fonctionner mes jambes. Elle me posa un verre d'eau a ma droite et m'ordonna de ne pas bouger avant de disparaître quelques secondes. J'ai but lentement et j'ai fixé devant moi, le barreau d'une chaise. J'avais déjà mal a la tête et les yeux lourds. Qu'est ce que je fais chez elle ? Quel con je suis, et hyung qui arrive pas a me rattraper, il dit courir vite. J'ai fermé les yeux jusqu'à ce qu'elle s'agenouille a coté de moi. J'ai rouvert les yeux et elle mis du dentifrice sur une brosse a dent.
« ça va te faire du bien ! Me dit elle. Je te jure !
-Je ne veux pas !
-Rah ! » Elle me dit d'ouvrir la bouche et commença a me brosser les dents avant que j'attrape la brosse et que nos mains ne se touchent quelques secondes. Elle me regarda dans les yeux, regarda au sol et lâcha la brosse. Je me suis brossé les dents sans dire un mot, elle remplis a nouveau le verre d'eau et le posa a ma droite a nouveau.
« Qu'est ce que tu fais là ? Me demanda t'elle. Répond pas, brosse toi les dents ! L'odeur pourrais réveiller ma mère. » Elle passa sa main sur ma joue et secoua mes cheveux avant de susurrer : « Tu es trempé.
-J'avais même pas remarqué ! Dis je en me relevant. » Elle m'aida et j'ai cracher dans l'évier. Je suis retombé au sol et elle s'agenouilla aussi. Elle est magnifique quand elle me regarde comme ça, magnifique. Je ne sais pas ce qu'elle pense, si elle se dit que je suis le dernier des abrutit a boire autant ou si elle a pitié de moi, j'en sais rien mais son regard est si doux que je crois rêver.
« Tu veux manger ou... me dit elle. » J'ai fait non de la tête et j'ai ajouté : « Je suis juste fatigué ! » Je me suis avancé vers elle et je l'ai serré contre moi. Elle ne bougea pas, resta aussi droite qu'un piquet, ne passa même pas les bras dans mon dos et j'ai eu envie de pleurer. Elle ne ressent donc vraiment rien, strictement rien pour moi. Elle me soigne comme un gamin et va me mettre dehors une fois que je serai propre. Je l'ai serré encore plus fort mais elle ne bougea toujours pas. J'avais sa nuque collé a la joue et son cœur tranquille résonnait dans ma poitrine. Je ne sais même pas si elle respirait ou non, je ne me souviens pas de son parfum, ça sentait seulement la menthe du dentifrice. J'ai comme eu l'impression qu'elle allait disparaître alors je la serrai autant que je pouvais. J'ai reniflé et elle dit : « Tu veux dormir un peu ? » Je l'ai relâché et je l'ai regardé dans les yeux, elle me fixait les yeux vibrants alors j'ai passé mes mains contre ses joues et elle les prit et les posa sur mes genoux.
« Tu peux dormir un peu sur le canapé avant de repartir, me dit elle. Je vais pas te laisser partir comme ça, tu pourrais dormir sous un arrêt de bus et faire peur aux enfant au réveil. » J'ai sourit en fixant ses mains empêchant les miennes de la toucher. Pourquoi mon cœur ne comprend pas que ça ne sert a rien de battre si fort ? Elle ne l'entendra jamais.
J'ai regardé le canapé et elle m'aida a ma relever. Je me suis allongé et la tête collé au tissus tout me sembla si calme, j'avais en bouche un mélange entre son goût, de la menthe et un reste de soju. Elle s'assit au sol a coté de moi et dit : « T'es un gamin qui a besoin d'une femme pour prendre soin de toi hein ? » Elle prit une espèce de couverture et me recouvrit avec avant de passer ses doigts sur mon front. C'est horrible de regarder la femme que vous aimez prendre soin de vous en sachant qu'elle ne sait pas a qu'elle point pour vous c'est comme les meilleurs moment de votre vie. Elle me regarda dans les yeux et on se fixa sans un mot pendant quelques minutes ou secondes, je n'avais plus aucune mesure du temps. Il n'y avait aucun son a part ceux de ses doigts caressant le bord du canapé et mon souffle lourd. Elle me fixait en souriant, les yeux brillants et la tête penché. J'aimerai tellement, tellement savoir a quoi elle pense en me regardant ainsi, je donnerai tout pour le savoir. Ses yeux son si doux ce soir...
« Je te pensais mort, me dit elle. Pas de nouvelle en trois jours... je m'inquiétais...
-Je t'aime... »
PDV MenmaElle me fait désormais terminer plus tôt, je fais donc moins d'heure. J'ai besoin d'argent et j'en viens a bosser la moitié du temps que je devais faire. Je ne sais même pas combien j'ai récolté depuis le début. Je ne sais pas combien ma tante a pris sur mon héritage, j’espère qu'il me reste au moins la moitié.
J'ai ouvert mon porte feuille quand adjhussi posa la glace sur le comptoir mais avant que j'ai choisis le billet a utiliser quelqu'un posa un billet a coté de mon pot et dit : « Je paye, ajouter un cornet noix de pecan. »
J'ai levé la tête, Jonghun me sourit et ajouta : « Laissez moi m'excuser avec ça ! »
Il sourit et le vendeur alla faire sa commande. Jonghun portait sa guitare sur un épaule et un sac a dos sur l'autre. Il me sourit a nouveau et ajouta : « Vous n'avez pas été renvoyé finalement.
-Non, je suis en sursit.
-Je suis désolé... dit il avant que son pot ne soit posé devant nous et coupa notre discussion. » Il pris et dit au vendeur de garder la monnaie. Il se tourna vers la pièce vide, il va m'inviter a manger ensemble ou il va s’asseoir tout seul ? Ça fait deux jours que je ne l'ai pas vu, depuis qu'il m'a raccompagné et que je me suis endormis dans sa voiture. Il n'a pas enlaidis et pas embellie non plus, j'arrive donc encore a respirer normalement. Il est bien plus grand que moi, et ses bras son musclé, sa dénote avec ses sourires de gamin et sa timidité. Il me regarda et j'ai tourné la tête.
« Il fait chaud dedans non ? Me demanda t'il.
Oui... » On sortit alors en même temps sur le devant du magasin. Je ne savais tellement pas ou me mettre. Il ne m'invite pas a rester avec lui, je l'invite pas a me tenir compagnie et pourtant on reste l'un a coté de l'autre. Il n'y a personne dans le magasin, personne dans la rue, c'est comme si on était les deux derniers dans la ville, comme si on se devait de rester ensemble. Il pris une cuillère de glace et me dit a nouveau:
« Je suis désolé...
-Je sais ! Dis je en lui montrant ma glace. Vos excuses ont bon goût ! » Il sourit et regarda devant lui sans un mot. Il doit bientôt être deux heures du matin, il est tout seul a cette heure là ? J'ai l'impression qu'il est toujours tout seul. Mais cette fille alors c'est qui ? Si a deux heures du matin il reste avec moi elle n'est peut être pas si importante.
« Je... dit il... Je suis désolé aussi pour l'autre soir...
-L'autre soir ?
-Je n'osais pas vous réveiller, c'est stupide mais...
-Je comprend... » Oui mon chou, je comprend, ça m'est impossible non plus de te réveiller alors excuse accepter. Ainsi je suis rentré chez moi, ils dormaient déjà, si j'étais rentré plus tôt je l'aurai sans doute croisé.
« Vous n'êtes pas fatigué ? Me demanda t'il. » J'ai pas répondu de suite, j'étais un peu surprise de toutes ces questions soudaines ce soir. Il n'a jamais autant parlé en deux semaines.
« Non, je n'aime pas rentrer tôt chez moi. Je dors déjà assez le matin. » Il me regarda le genoux et remonta les yeux de suite. J'ai encore la marque, mais elle s'est un peu effacé en trois jours. J'ai aussi toujours celle au front, mais il ne me regarde que rarement dans les yeux alors il ne la voie pas. Quand je suis face a lui avec toute mes blessures et lui si parfait je me sent vraiment ridicule.
« La femme de ménage en chef est une vraie teigne non ? Me demanda t'il.
-Oui, c'est un patronne. Elles sont toutes les mêmes. Mais vrai celle la en tien une couche ! » Je me suis énervé sur ma glace et il ria. J'aurai besoin de me passer les nerfs sur autre chose mais les plate-forme de jeu sont fermé a cette heure là.
« Vous jouez au base ball ? Me demanda t'il.
-Maintenant ?
-Non, je veux dire... » Il ria et ajouta : « De temps en temps.
-Non, jamais. » Il sourit a nouveau et demanda : « Vous voulez essayer ? J'en aurai besoin et vous aussi a première vu ! » Je suis resté bouche bée, fixant son sourire amusé. Il vient de m'acheter une glace, de dire plus de dix mots en deux minutes et maintenant il m'invite a jouer au base ball. Qui ne serait pas sans voix. Il me regarda dans les yeux avant de cesser de sourire et de manger sa glace.
« Mais vous êtes sans doute fatigué. Mon idée est stupide.
-J'y ai joué a la Wii une fois, dis je stupidement. Mais c'est ouvert a cette heure si ?
-Non, mais j'ai les clefs ! » Il les sortit de son sac et me les montra. C'était un trousseau simple avec une étiquette sur une des clefs ou était écrit anciennement un nombre. L'autre clef plus petit était rouge clair.
« Vous avez votre propre terrain de base ball ? Demandais je.
-Non, on loue une cage a l'année.
-Un cage ? » Il ferma la main autour de ses clefs et me fit signe de le suivre. Je me suis pas fait prier. J'ai l'impression de rêver, il lui arrive quoi ? Il est tout guilleret, parle beaucoup et m'invite a le suivre. J’ai eu peur quelques secondes qu'il est pitié de moi et de mes blessures mais j'ai préféré oublier cette idée.
On arriva plus vite que je ne l'aurai pensé au bord d'un terrain de sport grillagé. Il alla jusqu'à une des portes et ouvrit. Elle donnait sur un terrain en longueur avec un mur au fond et une machine étrange. A notre droite des casiers a chiffre de couleur verte, comme le grillage. Le sol est gris et abîmé par les balles sans doute.
Jonghun posa toutes ses affaires sur un banc et alla ouvrir un des casiers pour en sortir une batte et un jeu de balle. Il me donna la batte et alla au fond de la pièce, mis les balles dans la machine et me cria :
« Décalez vous un peu sur la droite. » J'ai fait avant que la machine ne face un drôle de bruit et qu'elle envoie une balle super fort sur le grillage du fond. J'ai mangé rapidement le reste de ma glace et il arriva a ma droite.
« Il suffit de frapper fortement dans la balle ! Me dit il.
-Vous faites ça souvent ?
-Oui, enfin ça me fait oublier certaine choses, ça me libère un peu.
-Je vois... Moi je tue des zombies, ou je joue a Guitar-héros !
-Zombies je veux bien, mais Guitar-héros ne me change pas trop de mon quotidien.
-Il me prit la batte des mains et alla attendre une balle.
« Vous êtes... guitariste ? Demandais je la cuillère encore en bouche. » Il frappa dans une balle qui alla s'écraser contre le mur au fond et le bruit résonna dans tout le stade.
« Oui, dit il. » Mon cœur s'arrêta et j'ai eu une pensé : Papa serait content d'entendre ça.
« Mais... repris je en retirant la cuillère. Vraiment... vraiment ?
-Oui, je suis guitariste dans un groupe...
-Quel groupe ? » Il frappa a nouveau et baissa les yeux avant de dire : « FT island !
-Je les connais ! Dis je stupidement. » Il sourit et je me suis sentit bête. C'est un bon groupe Papa, un vraiment bon groupe. Tu les aimerais j'en suis sur, tu l'aimerai bien lui aussi. Il protégerait parfaitement ta fille pas vrai ?
« Essayez ! Me dit il en me tendant la batte.
-Je sais pas...
-Essayez ! » J'ai échangé mon pot vide contre la batte et il prit sans rechigner. Je me suis mis en position avant qu'il ne s'avance vers moi. « Attendez ! C'est mieux sans la cuillère.
-Pardon ? » Il attrapa la cuillère qui était encore dans ma bouche et j'ai lâché prise.
« Frappez fort surtout ! Pensez que c'est votre patronne ou quelqu'un que vous haïssez ! N'importe qui ! » J'ai pas eu a réfléchir longtemps. Je me suis apprêté a frapper quand son téléphone sonna dans sa poche. Je l'ai regardé le sortir difficilement, ayant encore mon pot en main et sourire en regardant l'écran. Un splendide sourire que je n'ai vu que le soir ou il a courut après miss longue jambes, il se tourna, lut le message et alla prendre son sac.
« Je dois filer ! Me dit il. » La balle passa a ma gauche et s'écrasa dans le grillage dans mon dos.
« Mais continuer, gardez la clef. Vous me la rendrez demain ou... peut importe. » Il ne s'arrêtait pas de sourire et plus il s'éloignait plus je me sentais vraiment toute seule. Il ferma la porte derrière lui, me salua et partit d'un pas rapide. Je regardais son étui a guitare s'éloigner dans la nuit tendis que la machine envoyait encore des balles dans mon dos. C'est elle pas vrai ? Mon instinct me dit que c'est elle, et j'ai un bon instinct. Gamine on m'appelait le sanglier car je trouvais tout avant tout le monde. Alors je suis sur que c'est elle, il va la rejoindre si tard. Elle va avoir le droit a un sourire comme celui là, elle. Je me suis assise au sol et j'ai poussé la batte un peu plus loin.
A chaque fois que je crois avoir raison, que je crois en ce que je ressent il faut toujours que je me retrouve seul. Il a juste passé le temps avant qu'elle ne l’appelle avec la petite femme de ménage toute fragile. C'est qu'elle fait pitié cette fille avec ses blessures partout et ses larmes qui ne s'arrêtent jamais. Qui n'aurai pas pitié d'elle ?
J'aimerai tellement qu'il n'est jamais vu mes blessures, qu'il ne met jamais vu pleurer, qu'il me pense parfaite et jolie comme elle est. Sur d'elle comme elle doit être, j'aimerai tellement être elle. Pourvoir le faire resté en un sourire comme elle le fait partir avec un simple sms.