Tout d'abord... JOYEUX NOËL!!!
J'espère que cet OS sera à votre goût.... n'hesitez pas à commenter!!
~~ Bonne lecture ~~

Ne pleure pas. Je t’en supplie ne laisse pas ces larmes frôler ton visage. Tu as honte de ces larmes, de se signe de faiblesse. Tu cherches à les cacher, à les rendre silencieuses mais je te voie et t’entend. Je ne sais pas comment agir pour enlever ce poids qui blesse ton cœur au point de te faire pleurer. Je ne t’ai jamais vu dans cet état. Je suis des personnes qu’il faut s’en cesse consoler mais pas toi. Tu as toujours étais là pour me soutenir et me réconforter. Le fait que tu effleures ma peau est suffisante pour m’apaiser. Mais réagirais-tu de la même façon si je t’imitais ? Tu n’es pas comme moi. Tu n’éprouves pas les mêmes sentiments que moi. Tu ne montres pas facilement tes sentiments. Mais je te connais par cœur, tes moindres gestes, ta façon d’être de penser… c’est ce qu’on appelle l’amour. Si seulement tu ne me considérais pas comme une personne de ta famille. Si seulement tu pouvais me regarder autrement, comme je le fais en ce moment. Mon cœur se déchire face à tes larmes. Voir la personne que j’aime souffrir en silence est comme une torture. Ma gorge se noue, elle ne laisse passer les mots rassurant que je souhaite te dire.

Face à toi, je me comporte toujours comme un enfant. Je pense que je réagis comme cela pour que tu me protèges, me câlines, me parles avec ta voix la plus douce. Chaque geste, chaque parole que tu me destine sont une caresse. Pour toi, se n’est qu’un comportement normal, je ne pense pas que tu te rends compte de l’incidence que cela a sur moi. Tu as toujours été prévenant avec moi. Au début, je te considérais comme un ami que l’on ne veut jamais oublier. Mais plus je te connais, plus mon regard a changé. Je pense à toi à longueur de journée, tu me manques par le simple fait de quitté la pièce. Tu es devenu une drogue pour moi. Mes nuits se résument à rêver de toi auprès de moi. Tu es la personne qui me donne à la force de vivre cette vie douloureuse. Mais te voir t’écrouler ainsi m’attriste et fais monter en moi une rage. Pour toi, je suis prêt à combattre et te protéger des personnes qui te blessent même si cela implique d’avoir à dos tout l’univers. Mon amour pour toi est inconditionnel. Mais ressentiras-tu un jour cet amour pour moi ? Je ne pense pas, ton comportement avec moi est le même que l’or de notre rencontre. J’ai essayé de ne pas changer et cela de tout mon être mais mon regard te cherche constamment quand tu n’es pas auprès de moi. Je sais très bien que tu as remarqué mes yeux se poser inlassablement sur toi alors que je tentais de les cacher. Mais tu n’as rien fait, rien dit comme si ça n’avait pas d’importance ou pour ne pas me blesser.

Cet endroit sombre et froid où tu t’es réfugié est mon échappatoire. Le seul endroit où je laisse exploser ma colère et mes pleures sans me soucier du regard des autres, de ce qu’ils peuvent ressentir. J’ai découvert cette pièce au moment où mes sentiments ont changés. Au début, je ne comprenais pas d’où venez cette haine de moi-même et des personnes qui osaient t’approcher. Puis j’ai réussie à mettre un mot sur ça : la jalousie. Je m’en voulais d’avoir envie de plus avec toi, plus que de ton amitié. Maintenant, j’ai accepté mes sentiments et je te regard de loin en espérant ne pas t’effrayer. Être auprès de toi me permet de respiré, ton absence me fais suffoquer. Mais quand je ne peux plus me contrôler, il faut que je m’éloigne de toi et je me cloitre dans cette pièce. Parfois, je souffre par tes sourires qui ne me sont pas destiné même si te voir rire illumine ma vie. Cette pièce contient tous mes sentiments, mon désespoir, mes résolutions, mes questions sans réponse, mes envie de meurtre ou de suicide. J’imagine ta réaction si je t’apprenais que j’ai voulu, plusieurs fois, mettre fin à mes jours. Tu me passerais un savon. J’aimerais te dire que j’ai eu ces pensées sombres par ta faute et par celle de cette personne. Tu la laisses te toucher, te parler, te sourire. Face à elle, je me sens inutile et ne vois plus qu’elle est le but de ma vie. Encore aujourd’hui, il y a une minute je comptais mettre fin à mes souffrances. Quand tu as annoncé avec cette personne à tes côté que tu allais te marier, mon cœur s’est rompu. Il s’est brisé et n’a laissé la place qu’à un vide immense. A cette annonce, je me suis perdu, ma voix n’a pas réussie à protester, mes larmes n’ont pas coulées. En une minute, tu as détruit tout mon univers, mon amour pour toi ma détruit. Tu ne serais pas entré dans cette pièce sombre pour te cacher, tu m’aurais retrouvé sans vie. Je pensais pouvoir vivre mon amour juste en te contemplant mais sa présence me détruit à petit feu, alors je voulais en finir pour ne plus enduré cette douleur dans tout mon être.

Je ne peux empêcher mon corps d’avancer vers toi qui souffres. Je veux bien souffrir et mourir mais je te l’interdit. Mon corps, tout mon être ne peut tolérer de te voir endurer cette peine. Tu sembles surprise de me voir m’avancer vers toi. Tu pensais être seul mais je te regarde depuis tout ce temps. Ton regard qui semblait si mort et dévasté il y a quelque minute s’illumine à mon approche. Je ressens ta détresse mais ne comprend pas d’où elle peut provenir. Toi qui étais heureux de ton annonce, tu me donnes l’impression de ne pas être la même personne. Tes larmes silencieuses coulent désormais à flot. Je ne sais pas comment réagir face à ta chute qui entraine la mienne. Je pose délicatement, pour ne pas te brusquer, ma main sur ton épaule pour te consoler. Je suis contiens que ce n’est pas suffisant mais quoi faire. Toi, tu aurais su comment faire mais moi je suis loin d’être aussi parfait que toi. Tu me fais sortir de mes pensées en empoignant ma main. Tu la portes à ton visage pour ta coller à ta joue humide. Mon cœur loupe un battement. Le contact de ta peau à la mienne me fait frissonner. J’ai toujours imaginé la douceur de ta peau, son doux parfum. Je rougie par l’effet de ta douce peau sur moi. Je soulève ton visage pour entrer en contact avec tes merveilleux yeux qui me font chavirer. Ses yeux d’origines ornées d’étoiles sont rongés par la peine. Je veux savoir à quoi est dû se changement mais tu évites mes questions. Bien que cela me blesse, je deviens plus dure avec toi car je ne peux te laisser dans cet état. Je vois à ton regard fuyant que tu invente des excuse mais je te connais, il est inutile de me mentir. Je t’ai tellement contemplé que je peux décrire le moindre de tes gestes, de tes expressions. Dit moi pourquoi ces larmes sont sur ton beau visage. Tu me bouscules et tentes de fuir. Cela ne te ressemble en rien, pourquoi tant de changement ? En attrapant ton bras, je t’oblige à me faire face. J’ai mal au cœur de te voir souffrir. Il faut que je sache comment t’aider et te retiré se poids. Je suis capable de supporter pour toi tout le malheur du monde pour t’éviter d’endurer quoi que ce soit. Tu ne réponds pas, tu restes là à me regarder sans un mot. Sans me rendre compte de la situation, tu entoures mon coup de tes bras et m’embrasse. Est-ce encore un de mes rêves les plus fous ? Je ne pense pas, ton baisé est beaucoup plus beau et doux que dans mes rêves. Je ne peux mettre fin à cet acte que j’ai tant voulu, désiré. Tu prends l’initiative de t’éloigner de mes lèvres. Je ne t’ai jamais trouvé aussi beau qu’en cette nuit sombre et douloureuse. Ce regard, c’est la première fois que je le vois. Il rayonne et fais contraste avec ta peau rouge de gêne comme le mien. Ton souhait était que je m’oppose à cette personne pour te garder à mes côtés. Je pensais que mon amour n’était pas réciproque et j’avais honte face à cette personne pour agir. Elle te convient mieux que moi mais tu m’as choisi. A partir de se jours, je ne viendrais plus dans cette pièce, elle fera partie de mon passé douloureux. Je vais vivre mon amour avec toi et cela pour toujours. Je t’aimerais jusqu’à ma mort et plus encore si je le pouvais. Je veux voir ton sourire, ta joie de vivre. Je veux construire ma vie auprès de toi. Alors… Baby don’t cry…