03;J’suis loin d’être une sainte
J’men cache pas
Y sont pas partis pour rien
Et je sais trop bien pourquoi...J’avais connu Jaewon d’une façon assez particulière, un soir de Janvier il y à 2 ans de ça…
Je venais tout juste de finir mon semestre de collège et j’étais sortis prendre un verre au bar du coin, juste a 2 rue du campus où je logeais.
Il n’y avait habituellement personne chez Mickeys le vendredi soir, tout les étudiants sortaient en ville pour profiter du peu de liberté qu’ils leur étaient offert pendant le week-end; Pas de couvre-feu, leur travaux tous complété et un semestre de mercenaire enfin fini.
Étant un Hermite antisociale et paresseuse, choisir entre le club le plus branché, le plus assourdissant et à ¾ d’heure de Seoul ou le petit pub tranquille de Mickeys à tout juste 2 rue d’où je logeais il n’y avait pas d’option, chez Mickeys se serait.
C’était toujours chez Mickeys.
Minwoo, le barman, connaissait ce que je buvais par cœur et dès qu’il me voyait entrer dans le pub il préparait déjà mon verre;
Un grand verre de Rhum-Coke avec 2 glaçons et une bouteille de Soju à coté. Parfois mes verres étaient déjà tout frais préparé avant même que je n’entre dans le pub et à chaque fois je lui demandais comment il pouvait savoir que j’allais venir à cette heure-là
«Une question d’instinct Annah, juste une question d’instinct.» me répondait-il chaque fois.
Chez Mickeys vous pouviez trouver 2 types de clients; les réguliers et ceux qui n’étaient vraiment pas à leur place.
Dans les réguliers il y avait entre autre Park Brian; un garçon d’une vingtaine d’année, taille moyenne avec des cheveux brun court et des yeux noir avec des teintes légèrement plus brune selon l’éclairage. Minwoo m’avait raconté que Brian passait toutes ses soirées ici depuis 5 ans, attendant toujours sa petite-amie qui lui avait un jour posé un lapin mais qui lui avait juré que le soir d’après elle viendrait. Elle n’est jamais venue.
Bien sur Minwoo ne manqua pas de m’expliquer que la pauvre fille avait eu un accident le lendemain au soir et qu’en traversant la rue pour entrer au pub une voiture l’avait fauché. Elle avait tout juste 18 ans.
Il commandait toujours 2 bouteille de Soju, 1 pour lui et l’autre pour sa petite-amie décédée, il finissait la soirée en buvant les 2 bouteilles et à regarder par le fenêtre d’un air évasif, l’attendant toujours.
Il y avait aussi Choi Kibum, un grand brun avec le regard féroce mais qui ne touche jamais à personne. Lorsque Minwoo m’avait parlé un peu de lui, Kibum me semblait intimidant même légèrement dangereux, mais lorsqu’il avait mentionné que Kibum était le garçon le plus adorable lorsqu’il souriait je n’ai pas pu le croire.
Encore aujourd’hui je n’ai pas pu apercevoir un seul sourire ou même une émotion autre que la douleur sur son visage.
Minwoo m’avait averti qu’après avoir vu sa jeune sœur se faire poignarder par leur père lors d’une soirée trop arrosé, Kibum n’avait plus jamais souri et n’avais plus jamais adressé la parole à quiconque excepté Minwoo.
Il commandait toujours 4 bouteille de Soju et un cognac
Il y avait aussi Kwon SeungHyun qui était toujours là entre 23h et 3h du matin, gazouillant des jurons à propos d’une copine qui l’avait «lâchement abandonné pour son meilleur ami, était revenu le voir pour repartir avec son frère pour revenir encore le voir pour finalement repartir avec son père. Cette g*rce méritait juste de crevé» m’avait récité Minwoo lorsque je m’étais insurgé sur le peu de classe que sa copine avait.
«Annah, habituellement les prostituées n’ont pas beaucoup de classe, on les paye et hop! Elles vont voir ailleurs. Ce n’est pas leur métier pour rien.»
C’étais sa petite-amie…et celle de tout Seoul aussi.
Et il y avait aussi Yoon Jaewon.
Minwoo et lui était ami depuis des années mais il ne connaissait, étrangement, pas grand chose sur lui. Jaewon ne parlait jamais de sa famille et il n'était jamais venu au bar avec une fille. Il avait fait ses études a une école tout a fait ordinaire, avait des notes et un comportement dans la normal, avait une vie social vide mais stable.
Un garçon quoi de plus normal.
Il trainait toujours dans un coin du bar, un hoodie noir sur le corps avec un gros capuchon lui recouvrant complètement les yeux et son éternel bouteille de Soju sur la petite table ou il était accoudé.
Puisqu'il était trop banal pour moi, pendant des soirées de temps je n'y avait jamais fais gaffe...Jamais jusqu'à ce que je croise son regard.
Il devait être environ 1h30 du matin un samedi soir, les habitués étaient la, chacun dans leur coin, et il y avait moi; complètement soûle et déprimé affaisser sur le bar avec mon verre et mes bouteille de Soju vide a mes cotés.
J'étais toujours déprimé mais ce soir-la avait été un de mes pires jusqu'à date.
Après que Minwoo ait refusé de me servir un autre verre je m'étais frustré contre lui et avait foutu le camps du bar pour aller me promener un peu dans la ville, rien de mieux qu'une fille de 21 ans soûle, déprimé se baladant dans la ville sous la neige de Janvier.
Ils me manquaient, moi la fille complètement libertine et indépendante commençait a ressentir le contre-coup de l'alcool; Je commençait a être émotive et a ressasser le passé.
Il ne m'avait pas appeler depuis 6 mois et même si je l'haïssais pour tout ce qu'il m'avait fais endurer depuis mon enfance il restait mon père.
Jamais personne n'a pu comprendre l'ampleur de la douleur que j'ai pu ressentir en grandissant. Je n'avais jamais été battu avec des poings mais avec des mots et s'est sans doute de la qu'est venu mon opinion que les mots valent plus que les actions.
Nous étions trois et pourtant c'étais sur moi qu'il s'acharnait.
Je me souviens encore un soir, 2 semaines avant Noel, ou mes parents se disputaient parce que maman voulait aller au party que sa compagnie organisait pour Noel; papa avait catégoriquement refusé et maman l'avait nargué. Il refusait qu'elle y aille parce que l'homme que maman voulait y travaillait. L'homme pour qui elle voulait le quitter y serait...
Moi et maman faisions le sain de Noel, elle installait les lumières et je suspendais les boules au branches. Papa se mit a hurler de plus en plus fort contre elle et maman arrêta d'installer les lumières. Je regardais apeuré et impuissante a leur tirade de jurons et leur bataille d'insulte et d'argument.
J'avais tout juste 10 ans a l'époque.
J'avais vainement essayer de les arêtter, de les calmer mais je ne reçu que des jurons de mon père, elle n'avait rien fait.
Elle n'avait jamais rien fais.
j'essayais de les calmer chacun leur tour mais je ne servais a rien, je n'étais qu'un boulet de plus.
Ma mère me dira quelques années plus tard qu'elle aurait voulu avoir des enfants avec un autre, qu'elle aurait souhaiter nous avoir avec un autre homme.
Je lui répondrai alors qu'elle aurait souhaiter qu'on soit différent puisqu'elle détestait les défauts que nous avions reçu de mon père, elle répondra qu'elle souhaiterait avoir choisi un autre et que nous soyons moins comme notre père;
Elle devait sans doute parler de son amant, de celui avec qui elle vivrait a ce moment la. Elle devait sans doute juste dire qu'elle voudrait que nous soyons comme son chum et pas comme son ex.
Je l'avais douloureusement avalé celle-la.
Mais mon père...
Pendant le divorce de mes parents c'était moi qu'il venait chercher de nous trois pour aller s'enfermer dans la chambre des parents et s'est dans mes bras a moi qu'il pleurait et qui lui faisait juré de ne jamais l'abandonner, de rester toujours la Annah de son papa. C'était moi qui devait lui mentir chaque jours et lui dire que rien ne changerait et que l'on resterait tous les 5 une belle famille.
C'était moi que maman avait choisi comme couverture lorsqu'elle partait rejoindre son amoureux et c'étais moi le lendemain qui devait mentir a mon père et lui dire que je ne savais rien et que je n'avais rien vu.
C'étais moi qui les voyaient s'hurler a la tête chaque jours alors que mon frère et ma soeur partaient voir leur amis pour fuir l'enfer familial.
C'étais moi qui lui (ma mère) avait servit de couverture quand elle avait voulu partir en week-end en amoureux avec son autre homme alors qu'elle était en procédure de divorce. C'étais a moi que ma mère racontait tout les coups tordu que mon père faisait mais c'étais également moi qui retournait le voir malgré les coups bas qu'il pouvait me faire.
Je me souviens de son anniversaire, le 1er juillet 2004 précisément.
Ma mère lui avait tout juste envoyer les papier de demande de divorce 4 jours auparavant et s'était enfui avec moi et ma soeur dans un centre pour femme par peur qu'il devienne violent. Le jour de son anniversaire j'étais la seule de nous deux qui avais voulu aller le voir, ma soeur refusant d'y aller et me disant de mentir a notre père et de lui dire qu'elle avait eu un empêchement, un mensonge de plus sur mes épaules.
Je me souviens encore aujourd'hui de la scène avec précision;
je venais de descendre du bus et marchais, seule, jusqu'au coin de rue ou nous habitions, notre maison se trouvait en plein milieu de la rue et je tremblais de ma tête a mes pieds. Comme réagirait-il? Me crierait-il par dessus la tête? Serait-il content de me voir? Me demanderait-il ou nous étions? Que pourrais-je alors lui répondre? Maman m'avait fais juré de ne rien dire alors je devrais
encore lui mentir?
Et comme je tournais le coin de la rue pour entrer sur ma rue je l'avais vu.
Il se tenait sur notre terrain, immobile comme une statue avec le regard rivé ou je marchais. D'ou j'étais je ne pouvais pas voir son expression ou même s'il semblait heureux plus que fâché.
Mais lorsque je suis arrivé a environs 60 ou peut-être 50 mètre de lui je pu lire clairement son expression;
Dans larmes roulaient sur ses joues alors que ses épaules tremblaient et que des sanglots faisaient s'élever son torse.
Il semblait détruit.
Alors j'avais couru. J'avais couru dans les bras de l'homme auquel j'avais menti, celui qui avait fais beaucoup d'erreur dans sa vie mais que je savais que malgré tout, il m'aimait. Le père que j'avais trahi et que si la moindre questions s'émanait de sa bouche, je devrais encore mentir. Je protégeais une femme qui ne semblait pas si pressé de me protéger moi et d'avantage protéger sa petite amourette avec un autre homme.
Il avait fais quelque pas et m'avais pris dans ses bras, moi sa fille de 10 ans qui pleurais aussi d'avoir du lui mentir et qui l'avais trahi tant de fois auparavant et qui allais surement récidiver.
Il m'avait dis qu'il était tellement heureux que je sois la et que j'étais son plus beau cadeau pour sa fête...et il me demanda pourquoi ma soeur n'était pas la.
Mensonge. Encore un autre mensonge qui allait s'évader de ma bouche et qui allait lui pincer le coeur parce que nous savions tous les deux que se n'était pas vrai. Ma soeur n'avait pas un empêchement et elle aurait très bien pu venir. Elle ne voulait
pas venir.
Il avait ensuite passé toute la soirée a me questionner et j'avais passé toute la soirée a lui mentir. Le lendemain il était parti travailler en me laissant a la maison, prise de panique j'avais appeler ma mère pour lui raconter et elle m'avait dis de me réfugier chez une des ses copines, une femme d'une trentaine d'année qui habitait au bout de la rue.
Je n'avais jamais cru que lorsque mon père allait revenir de travailler il allait devenir hystérique en voyant que j'étais parti et demanderait a nos voisins s'ils savaient ou j'étais; un d'eux savait et lui raconta.
Mon père devint fou de rage et commença a marteler la porte de Chantal, la copine de ma mère, a gros coup de poings et d'hurler des obscénités...Jusqu'a ce que cette dernière appelle la police et qu'une journée ordinaire devint un des moments les plus douloureux de ma vie.
Je l'avais
encore trahi.
Trahi pourquoi? Pour ensuite apprendre que ma soeur et ma mère avaient passé les deux journées a aller magasiner et s'acheter de nouvelles fringues.
Il prit sa revenge 3 ans plus tard. 3 ans après l'annonce du divorce.
C'est la que je commença a le haïr d'une haine sans nom.
Il m'harcelait chaque jours, pire que les enfants qui se font brutaliser a l'école et pratiquement comme ceux qui se font battre a la maison.
Il m'harcelait a me poser des questions continuellement en rapport avec ma mère et son copain. Il la traitait de s@lope, de trainée, de pét@sse, de grosse v@che et le traitait, son copain a elle, de trou du c*l, de PD, d'enfant de ch!enne...et autre vulgarité. Il voulait tout savoir sur chaque mouvement que ma mère faisait et c'étais a moi qu'il posait toutes ses questions.
Il m'harcelait aussi pour savoir chez qui j'allais habiter a temps plein.
Parce qu'il avait décider d'emménager avec sa copine de l'époque, copine qu'il connaissait depuis 2 mois et demi seulement. Je la haïssait autant que je pouvant le détester, lui. Il m'avait harceler chaque jours pendant 183 jours exactement pour savoir si oui ou non j'allais habiter a temps plein avec lui. Si je disais oui je devrais changer de maison, de ville et d'école. J'habiterais a 45 minutes de mon école et il refusait que je reste a cette école.
Ma mère avait déjà emménager avec son copain dans une maison a 25 minutes de mon école et donc je pourrais continuer mes études dans cette école-la, mais si mon père déménageait je ne possèderait plus d'adresse dans la ville ou mon école se trouvait et donc je ne pourrais plus aller a cette école.
Étant un enfant avec beaucoup de difficulté d'adaptation et avec des problèmes au niveau de mes notes scolaires et mon comportement rebelle, changer d'école contre mon gré était tout sauf une bonne idée.
Il a quand même choisit sa petite-amie qu'il connaissait depuis seulement 2 mois et demi avant la santé et les besoins scolaire de sa fille.
J'avais seulement vécu 13 ans de plus qu'elle avec lui...
après avoir enfin avoué que j'allais aller habiter a temps plein avec ma mère, il commença a rejeter la faute du divorce sur moi.
J'étais, selon ses dires, toute aussi coupable que ma mère pour son divorce.
Je l'avais divorcer.
Il m'avait détruit.
Et c'est en repensant a tout les douloureux souvenirs, les journées sombre et les larmes qui avaient coulé que j'avais marché jusqu'au petit pont près du bar.
Je ne comprenais pas pourquoi c'étais moi qu'on abandonnais, moi a qui on en voulais, moi qui pleurais alors que c'étais
eux qui m'avaient fais tant de mal,
eux qui avais profitéent de moi et qui m'avaient jeté aussi sec une fois rendu inutile.
Et c'est avec cette peine et cette douleur poignante que j'avais enlever mes souliers et avais grimper les barreux du pont pour me retrouver de l'autre coté, la ou si je tombais, se serais dans le lac gelé tout en bas; si je tombais, c'étais la grand faucheuse qui viendrait me chercher pour m'emmener en enfer ou avec un peu de chance au paradis.
Sans même m'en rendre compte j'avais commencer a fredonner une chanson que j'avais cru bien enfoui dans mon coeur, bien oublier de tout.
Hey dad
I’m writing to you
Not to tell you
That I still hate you
Just to ask you
How you feel ?
And how I fell apart
How this fell apart
Sometimes I forget
Yeah, and this time
I’ll admit that I miss you
Said I miss you...J'étais penché en avant, les bras derrière s'agrippant au barreau du pont et les cheveux flottant dans l'air froid d'un mois d'hiver.
c'étais fini. La douleur, la peine, la rage et la solitude. Tout se finirait lorsque mes doigts glisseraient du barreau et que mon corps volerait pour aller se perdre dans l'eau glaciale du lac, a une centaine de mètre en bas du pont.
"Ça y est. C'est maintenant ou jamais. Vaut mieux partir maintenant que souffrir éternellement. Mun Annah vas-y lance toi!" avais-je crier, sans me préoccuper d'alarmer quiconque ou de me faire voir.
J'avais senti mes doigts glisser lentement de la barre froide et avais senti mon corps tomber légèrement par en bas, vers ma mort.
Un sourire au lèvre j'avais juste eu le temps de souffler un doux
Adieu qu'une main forte et serrer attrapa vivement mon bras et me tira vers le haut, vers le pont. Malheureusement pour mon ange-gardien, un de mes pieds glissa sur la neige fraichement fondu et perdant pieds je me retrouva le corps dans le vide avec pour seule bouée de sauvetage la main d'un étranger qui refusait obstinément de me laisser mourir.
"Aaaaaah! Lâchez-moi! Lâchez-moi sur le champs grossier étranger! Vous ne savez donc pas que lorsque quelqu'un se jette dans le vide s'est rarement pour qu'on le rattrape?! Lâchez ma main bon sang!" lui criais-je par dessus la tête.
Les pieds s'agitant dans l'air et l'autre main tentant de détacher ma non-désiré boué de mon bras, j'hurlais a fendre l'air a celui qui
osait vouloir allonger mon calvaire.
"Mais voulez-vous me lâcher bon sang!, hurlais-je complètement hystérique. Qu'es-ce qui vous donne le droit de sauver la vie a n'importe qui?! J'étais sur ce pont, accrocher a ses barreaux pour une raison précise et je voudrais bien que vous me laissiez faire ce que j'ai a faire!"
Je n'avais pas prêter attention a ce a quoi il ressemblait jusqu'à ce qu'il me réponde.
"Te laisser tomber? Absolument pas question. J'ai le droit de sauver qui bon me semble et quand sa me tente et tu n'y peux rien. Je ne vais certainement pas laisser une adolescente me mourir sous les yeux et me faire accuser de meurtre ou de complicité dans un suicide pour une parfaite étrangère." Avait-il répondu, froidement et simplement.
"je ne suis pas une gamine, j'ai 21 ans et si je ne m'abuse suis par conséquent sous la charge de personne et encore moi la votre. Alors lâchez mon bras et laisser moi mourir bon dieu de merde!"
Il n'avait rien dis et donc avais lever les yeux pour voir s'il avait l'intention de me laisser tomber ou pas.
Et j'avais eu le choc de ma vie.
C'étais l'étranger a la capuche, Yoon Jaeowon, seulement il n'avait plus sa capuche et donc me laissait admirer son visage en entier et dieu que je l'en remercia.
La lune éclairait son visage et se que j'y vu créa d'étrange soubresaut dans mon estomac; Une ossature de la mâchoire parfaite, une nez fin et petit, une bouche bien défini et des cheveux d'un blond délavé presque blanc avec les yeux les plus incroyable du monde. Des yeux d'un vert incroyable, mélangeant le vert émeraude au vert pomme avec un peu de vert forêt, le plus beau ton de vert j'avais vu.
Je su a cet instant que je ne voulais plus qu'il me lâche mais qu'il me soulève et me ramène sur le pont, je voulais qu'il me ramène sur la terre ferme pour que je puisse me blottir dans ses bras.
"D'accord, si tu veux vraiment mourir je vais te laisser faire mais ne viens pas ma hanter après!"
Il allait vraiment me lâcher?!
"NON! Ne...ne me lâchez pas.
Ne vous inquièter pas se ne me dérange pas, il fait tellement sombre que personne ne pourra me voir et donc personne ne m'accusera de t'avoir tuer. Je peux te laisser faire en paix.
S'il...s'il vous plais ramenez moi sur le pont, lui avais-je dis suppliant.
Mais sa ne me dérange pas si tu veux vraiment--
RAMENEZ-MOI SUR LE PONT SUR LE CHAMPS!, l'avais-je couper frustrer a présent.
D'accord d'accord pas la peine de crier..., avait-il marmonner mis-amusé mi-exaspéré."
Une fois ramener sur le pont, sans même réfléchir a un futur embarras, je m'étais précipiter dans ses bras et avais enfoui mon nez dans son foulard, foulard qui sentait bon la fraise et le whiskey.
"Euh...Es-ce que ça va?"
Je n'avais pas pris la peine de lui répondre, juste de resserrer mes bras autour de sa taille et d'enfouir un peu plus ma tête dans son torse.
"C'est drôle on dirais le remake de Titanic version hiver et sans avoir été sur un bateau...quoi qu'un pont ça se rapproche d'un bateau..., avait-il rigolé sans doute en essayant de détendre l'atmosphère.
Yoon Jaewon? Bouclez la deux minutes, merci."
Je n'avais même pas eu peur de sa réaction sur le fait que j'avais été grossière et impolie ou que je connaissais son nom sans le connaitre, lui.
"Ha Ha d'accord mais seulement si on fou le camps de ce pont, je n'ai pas confiance en cette soudaine envie de vivre, miss Mun Annah." , m'avait-il murmurer a l'oreille, hilare.
Et sans même se demander comment il savait mon nom ou comment je pouvais connaitre le sien, nous avions déjà enclencher ce qui serait l'une des plus belle histoire jamais vécu.
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Chapitre dur a écrire émotionellement mais que j'aime. Même si je n'ai pas de lecteur je dirai donc a mes lectrices imaginaires que le prochaine chapitre devrait arriver après le prochain de Go Zeppelin Go! et donc d'être un peu patiente ><
Accueil
j'aime trop !!!!!! olalalallalalallalalalalalla 
dont worry rien de méchant mais cst juste par rapport à ce qd tu écris les sentiments..je ressens très fort cela qd tu parles de ce père..comme du vécu... 
sorry
cela m'a saisi dès la lecture du 1er mot