• Auteur(e) : Wonnie
• Genre de l'histoire: Guerre de 40- Evasions des camps.

Alors je tiens à préciser que c'est pas du tout une histoire drôle, c'est plutot une histoire sérieuse. Il y a pas d'idols ou autre. J'ai essayé d'être la plus précise possible, et j'ai essayé d'être au plus proche de la réalité de l'époque à travers les recherches que j'ai faites sur internet.

En espérant que ça vous plaise, tenez le premier chapitre:

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A quelque mille Kilomètres de la France

Le camp d’HOYERSWERDA OFLAG est situé en Silésie entre Dresde et Breslan. Le camp, terre stérile, s’étend dans une immense plaine aride très plate, seulement parsemée de quelques bosquets de bouleaux. Quelques maisons du hameau d’Elster Horat et le camp de nos gardiens à environ 1 km étaient notre seul horizon.
Le camp, en forme de quadrilatère de 1km de côté, était bien gardé, et toute évasion pouvait paraître impossible : Entouré d’une double rangée de barbelés de 3m ou 4m de hauteur et entre ces deux réseaux, des barbelés étaient tendus.

Il y avait interdiction absolue d’approcher de cette limite du camp : un fil de fer fixait à environ 20 mètres la distance à ne pas dépasser. A l’extérieur, des sentinelles armées faisaient le va-et-vient toutes les 40 mn environ. Des miradors dominaient tout le camp, et les sentinelles de ces miradors, étaient armées de mitrailleuses. La nuit des phares puissants et mobiles projetaient leurs faisceaux lumineux tout autour du camp. En outre, un éclairage fixe illuminait la ligne de barbelés. Aux deux sorties du camp il y avait des doubles portes gardées chacune par une sentinelle. Dans ces conditions, toute évasion paraissait ridicule : et pourtant dés les premiers jours de notre captivité, un certain colonel G (aviateur)qui réussira une des premières évasions, nous propose, à Bensignor et moi-même, de nous joindre à son équipe qui travaille déjà dans un sousterrain, mais à l’époque nous mourrons littéralement de faim. Sous-alimentés, nous nous sentons incapable de fournir un gros effort physique, et déclinons son offre. Nous réservant pour plus tard, dès que nous aurions récupérés, grâce aux colis des familles. Pour réussir une évasion si loin de la France, il faut d’abord être en excellente condition physique, il faut ensuite le vouloir, mais avec un grand V, la volonté, la persévérance sont les qualités indispensables ; ensuite il ne faut pas se laisser décourager par les difficultés qui seront nombreuses. Il faut préparer l’éventuelle traversée de l’Allemagne avec beaucoup de soins. Réussir la sortie du camp est l’opération la plus difficile sans doute, et se faire reprendre ensuite serait dangereux, car on risquait le camp de représailles. Il faut donc avoir tout prêt : l’équipement indispensable : Vêtements civils, boussoles, cartes des environs et de l’Allemagne, horaire des chemins de fer, argent allemand, ravitaillement pour subsister le temps que durera l’évasion : sucre, chocolat, biscuits, alcool. Tout cela exige beaucoup d’ingéniosité, de patience, d’astuces. Des pinces et toutes sortes de choses arrivaient, camouflées habilement dans les colis : lesquels étaient ouverts et contrôlés par nos gardiens, mais grâce au ciel, bien souvent superficiellement. Pour beaucoup d’autres choses, monnaie allemande, cartes, horaires de chemins de fer, nous arrivons à nous les procurer auprès des civils allemands travaillant dans le camp, contre du chocolat, des boites de sardines etc … Il fallait prendre de très grandes précautions, car l’allemand risquait gros et se méfiait de ses compatriotes. Il fallait ensuite cacher tous ces trésors, pour les soustraire aux fouilles, qui étaient fréquentes. Une fois prêt, quant à l’équipement, le plus difficile restait à faire : Sortir du camp ?

JAIME TON HISTOIRE SERIEUX
LA SUITE
LA SUITE *O* ♥ ma Wo ^^

Merci Dari, t'es trop gentille :) <3
Je mettrai la suite demain soir *O*

Je pense que tu vas être ma seule lectrice XDDD

DERIEN MA Wo ' ♥
VITE HEIIN la suite ^^

MAIS NON dit pas sa :p

Disons que c'est un sujet, on aime ou on aime pas :)
Et comme je sais que sur le fow, vous êtes plus du genre à aimer les histoires avc des idoles *O*

En tout cas : Merchiii >3<

Je suis fan de histoire historiques. Le sujet est assez dur à traité, mais je serai la pour le lire la suite.
J'attend la suite avec impatience

Oh merciiiiiiiiiiiiiiiiiii Min Yeon ! *O* Ca me fait vraiment plaisir :D
Je posterai la suite demain normalement :)

J'espère que ça te plaira et que ça ne te décevra pas x)
C'est vrai que c'est un sujet difficile, c'est pour ça que je fais des recherches pour ne pas dire trop de bêtises ;)

Bien, le problème avec ce genre de sujet c'est aussi de ne pas offensé des personnes. Mais je ne pense pas, cela vas me décevoir. ^^

Oui c'est sur, il va falloir que je modère vachement mes propos *O* :)

Enfin, j'attend la suite. Donc demain.

Mais une question, tu n'avait pas fait une autre fiction ?

Oui demain :D

Euuh non, c'est ma première pourquoi ? *O*

J'ai cru que j’avais lu une autre fiction à toi. J'ai une mémoire de poison rouge XD

Bon voilà le DEUXIEME chapitre. La plupart des situations que je cite sont des faits réels que j'ai pris à travers des anciens témoignages !
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En principe aucun officier ne quittait le camp, sauf pour aller à l'hôpital. Bien entendu plusieurs camarades avaient songé à s'évader, soit pendant le séjour à l'hôpital, soit pendant le déplacement, mais la ruse fut vite éventée, et il n'y eût plus rien à espérer de ce côté. Il fallut donc passer des heures et des heures à tourner en cage pour chercher la faille possible: observer attentivement tout ce qui sortait du camp, les habitudes de nos gardiens, leurs méthodes, leurs horaires, etc... A ce petit jeu, les malades de l'évasion se reconnaissent vite dans le camp. Ce sont toujours les mêmes qui se retrouvent sous le soleil brûlant, ou par -20°, traînant sous la tempête de neige, guettant et observant chaque détail de la vie du camp susceptible d'être exploité. Il faut relativement peu de temps pour choisir un équipier avec lequel on décide de partir: Le même idéal, les mêmes conceptions, les mêmes désirs nous rapprochent. Je suis certain de JACQUES comme de moi-même et il a toute confiance en moi. Au cours de notre aventureuse échappée nous aurons chacun à notre tour des moments de faiblesse et de découragement, l'autre sera toujours là pour soutenir son camarade. Jamais nous ne nous sentirons abandonné. Quelle force supplémentaire, quel atout: nous étions deux frères liés à la même tâche.

-- Première tentative: 2 souterrains qui n'aboutiront jamais: l'un s'éboulera, l'autre découvert par les Allemands.

-- Deuxième tentative: S'infiltrer dans une colonne de prisonniers serbes que l'on évacue sur un autre camp: arrêté, alors que j'avais quitté la colonne pour me réfugier derrière un buisson bordant la route, ramené au camp( 15 jours dans le noir, 1 morceau de pain par 24H).

C'est pendant ce temps qu'arrive GOURDO au camp, et qui me cherche, son ami d'enfance, qu'on lui avait dit être ici. Il me retrouvera au bout de 15 jours et particpera à notre entreprise. Ma peine terminée, je reprends ma vie dans le camp, mais ne pense qu'à m'évader, mon esprit travaille sans arrêt, j'en parle chaque fois avec Jacques, je cherche la solution et vers mi-octobre, l'idée de Génie !!

Heeu j'ai pas tout compris ce que tu as dis! XDDD

Sinon je posterai la suite demain :) Je suis déjà entrain d'écrire le troisième chapitre :D

Min Yeon a écrit:

Avant tout : C'est son idée ?

J'aime vraiment ta façon ne me faire rentre dans l'histoire.
La suite ?!

J'ai pas compris aussi ce que j'ai mis. XD
J'ai écrit je ne sais pas comment mais ce n'est pas du français. Donc je disait : J'aime vraiment ta façon de me faire rentrée dans ton histoire.

Demain ?! Je peux pas avoir un avant gout ?!

Oh merciiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ♥ Je suis contente que tu apprécie toujours l'histoire!
T'es ma n°1 lectrice! Haha XDD

Par contre, ça seraaaaaaaaaaa demain ! ;)

I'm number 1 ! XD