Coucou tout le monde! ^^
Voilà une nouvelle fiction de ma part ( je sais je vous saoule avec tous mes écrits vous vous dîtes elle est chiante Ju' a écrire comme ça mais on va pas la contrarier on va lire XD ) enfin voilà j'espère que sur cette fiction aussi j'aurai beaucoup de lecteur ou au moins mes lecteurs fidèles qui me suivent depuis le début sur mes autres fictions et j'espère que celle là vous plaira tout autant.
Je vous laisse la découvrir.
Bonne lecture.
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La vie c'est bien seulement si il s'y passe quelque chose
Introduction:« Manger, dormir, aller en cours…
Tout ça manque de pétillements à mon goût.
J’aimerais que ma vie soit remplie d’aventures, que je vive une grande histoire d’amour…
Pleins de choses quoi mais rien ne se passe. »
C’est ce que j’avais pensé mais, jamais je n’aurais cru que ça deviendrai vrai.
Mais je ne le regrette pas.
Chapitre 1 :Un soir alors que je rentrai chez moi après une journée de cours (comme d’habitude), je vis une ombre glissai sur le mur dans la ruelle devant laquelle je passai.
C’était une ombre comme une autre et cela ne manquait pas dans ce quartier où deux lampadaires sur trois ne fonctionnaient pas, mais parmi toutes ces ombres, celle-ci m’attira le regard.
Et curieuse et têtu que je suis, je m’engageais dans la ruelle.
J’avais beau le sentir mal, je continuai de marcher vers la pénombre.
Je voyais bien que l’endroit n’était pas rassurant et aurai pu servir pour le tournage d’un film d’horreur mais je continuai.
Cette ombre non identifié, la pénombre, la petite ruelle, la froideur de l’endroit, cet endroit désert : avec cette ambiance, je m’attendait au pire et pourtant jamais je n’ai fait marche arrière.
Mes pieds allaient chacun leur tour l’un devant l’autre, sans s’arrêter.
Je ne voyais pas grand-chose, mes sens étaient brouillés, notamment ma vue et de ce fait, mon imagination prit le dessus et je me mis à imaginer des choses effrayantes et pourtant… Je continuai à avancer.
Puis tout à coups, comme vous pouvez le concevoir, j’entendis un souffle derrière moi, ce qui me fit me retourner mais ce que je découvris n’avait vraiment rien d’effrayant : c’était un garçon que je dominai par ma hauteur, un simple garçon dont le visage avait le don de vous attendrir par son expression enfantine et innocente.
Je n’aurai pu dire l’âge il avait et je décidai donc de le lui demander mais une fois ma phrase finit, je n’eus aucune réponse.
Je renouvelais mon acte mais toujours rien.
Je crus qu’il était muet mais un son très faible sorti finalement de sa bouche.
N’ayant pas entendu, j’approchai mon oreille en espérant qu’il répète. Malheureusement, il resta pétrifié, ainsi que ses lèvres.
Est-ce que je lui faisais peur ?
Par le doute je me reculai et attendait un mouvement de sa part.
Il ne bougeait pas mais il me fixait avec insistance et je voyais bien la tristesse et la peur dans ses yeux.
Je m’assied sur une poubelle et commençai à parler pour le rassurer.
« N’ai pas peur, je ne te veux pas de mal, tu peux me faire confiance, je peux peut-être t’aider mais pour cela, il faut que tu me dises ce que tu fais là et ce que tu attends de moi. »
Je m’arrêtai là pensant qu’il allait parler mais apparemment non.
Je décidai de ne plus bouger ni parler, le laissant ainsi décider de la suite.
Un grand silence planait et on aurait dit que quelqu’un avait mis arrêt sur image.
Ne pouvant rien faire d’autre, je l’examinai du mieux que je pus malgré la pénombre.
Il n’était pas très grand, il était mince et je me demandai depuis combien de temps il n’avait pas mangé. Il portait un pantalon troué à chaque genou laissant apparaître sa peau résidant sur ses os ainsi une grande chemise également déchirée. En descendant mes yeux je découvris ses pieds nus et écorchés. Je regardai alors son visage pleins d’expressions : son visage rond englobait des yeux verts scintillants, pleins de malice, d’amour, de jeu d’enfant mais aussi de peur, de faim, de supplice. Sa fine bouche arborait des lèvres gercées entourées de joues roses et des pommettes hautes. Ses cheveux noirs lui tombaient dans les yeux. Malgré la crasse et les blessures, son visage était enfantin et la tendresse nous submergé dès qu’on le regardait.
Mais qui avait pu abandonner un enfant comme ça ?
Alors que je me posai d’innombrables questions sur le comment du pourquoi l’enfant fit un pas. A ce geste je me pétrifiais attendant a suite mais une voix grave retenti brisant la scène :
« Coucou Ulysse. J’espère que je ne t’ai pas trop fait attendre, je suis un peu en retard. Tiens ! Tu t’es fait une nouvelle amie ? Bonjour.
Le dernier mot m’était adressé mais je n’y répondis pas, je regardai juste le petit garçon ont le prénom semblait être Ulysse. Je le regardai et son changement d’humeur me surpris : une seconde plus tôt il était méfiant et emplie de tristesse et à l’arrivée de ce jeune homme, un des plus beaux apparu sur son visage, même ses yeux souriaient.
Il courut vers le jeune homme et, le suivant des yeux je découvris ce dernier qui lui aussi un magnifique sourire qui faillit me faire tomber de ma poubelle.
Voyant que je ne répondais pas à sa salutation, il me posa la question logique qu’on pose lorsque l’on rencontre quelqu’un :
Comment tu t’appelles ?
-… euh…moi ? demandais-je comme si il y avait possibilité qu’il parle à quelqu’un d’autre.
Il rigola avant de répondre.
-Oui toi. A qui veux tu que je parle ?
Son rire cristallin et son regard amusé me laissa en extase.
-Elisa, dis-je, oui je sais, c’est pas génial comme prénom mais c’est la faute de mes parents.
Encore une fois il rigola avant de répondre.
-Tu as une drôle de façon de te présenter toi. Et moi j’aime bien Elisa.
-Ah bon tu es bien le seul ici.
-Non moi aussi j’aime bien.
Une voix d’ange avait crevé le ciel. Ulysse venait de parler et il me regardait un grand sourire aux lèvres.
Le jeune homme dont j’ignorais encore le nom ébouriffa les cheveux d’Ulysse me laissant une nouvelle fois ouïr son rire si pétillant.
-Moi c’est Mister.Frog. dit il en me regardant.
-Frog ?Monsieur Grenouille ?
Mon air étonné le fit rire de nouveau.
-Non je rigole, je m’appelle Hadrien mais tout le monde m’appelle Mister Frog.
-Oh… et pourquoi ils ne t’appellent pas par ton prénom et pourquoi Mister Frog ?
-Viens si tu veux je t’explique mais pas ici.
Il se tourna vers Ulysse et vit son accoutrement.
Ulysse ! Qu’est-ce que tu as fait à ma chemise ?!
Les yeux d’Ulysse s’emplir de larmes.
Mais c’est pas grave, j’en ai d’autre, s’empressa de dire Hadrien pour ne pas faire pleurer l’enfant.
Cette fois ce fut moi qui rigola en voyant l’affolement d’Hadrien.
En entendant mon rire, ce dernier releva brusquement la tête vers moi et sourit d’un sourire attendri.
-Où veux-tu aller, demandais-je à notre roi grenouille.
Il mit un temps d’arrêt avant de pester :
-Merde ! Mes parents ne veulent pas que j’emmène Ulysse à la maison et dehors c’est pas évident.
-On peut aller chez moi, je vis seule.
-Tu as quel âge ?
-17 ans
-Quoi ?! Une belle jeune fille comme toi qui vit seule c’est dangereux ça.
-Arrêtes de dire n’importe quoi. Je vis seule parce que l’université où je vais est ici et que mes parents ne pouvaient pas venir avec moi.
-Ah … Attends, tu as 17 ans et tu vas à l’université ?
-Oui j’ai un peu d’avance.
-Donc on peut aller chez toi ? ça ne te dérange pas ?
-Non, suivez-moi.
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Voilà merci d'avoir lu.
J'espère que ça vous a plu et pour une fois c'était long XD
je ne promet pas la même chose pour les autres chapitre mais celui là il était long XD
merci d'avoir lu ^^ 
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J'adore ce que tu écris. Tes deux premières fics sont excellentes et celle la je suis impatiente de lire la suite.
