bon on est pas à 4heures prés alors je concidére qu'on est mercredi. J'espére que vous aimerez même si c 'est (moins romantique que celui de Lanamie)
Chapitre 33
Quand j’étais petite (je n’étais pas grande! et je ne le suis toujours pas>< trêve de plaisanterie). Quand j’étais petite je voulais être pilote d’avion. Je ne voulais pas piloter des avions pour voler, mais pour allez quelque part, n’importe où mais quelque part. Ailleurs c’est tout, loin c’est tout. Maintenant le quelque part serait n’importe ou mais pas ailleurs que dans tes bras et non loin de tes battements de cœur. Mais là où tu es, même les plus puissants avions ne peuvent y aller.
J’étais assise sur un banc en pierre sur le bord de la jetée en pierre. Les vagues léchaient doucement le rebord, ce qui profitait à une colonie de coquillages. La brume fraîche passait ses long et fin doigts dans mes cheveux. J’entendais Toto jouer avec le chien de mamie dans mon dos.
L’été est bientôt là, la neige est presque totalement fondu, les pingouins ont disparus de la circulation, surement partis retrouver les côtes de la banquise plus au nord.
Je respirais profondément, gonflant mes poumons. Grand mère arriva tranquillement apportant un petit plateau argenté avec deux tasses et une théière. Elle le posa délicatement sur le banc entre nous deux.
Elle me versa un peu du liquide chaud dans ma tasse . Je continuais de contempler ce paysage si apaisant si serein. On se croirait au bout du monde, non je rectifie, on était au bout du monde, nous n’étions qu’un bout de terre perdu dans l’océan. Nos voisins étaient le ciel, avec ces goéland et l’océan avec ses vagues et ses poissons. Ici les humains sont minoritaires, au confins du monde on se sent loin de tout, en particulier loin de ses problèmes. C’est pour ça que j’étais venu.
Mamie porta à ses lèvres la tasse à fleur rose, que même les anglais auraient trouvé « too much ». Elle remis la tasse sur sa petite coupelle puis tout en regardant au loin demanda.
« -êtes vous sûre? »
Je ne répondis pas, je savais parfaitement qu’elle attendait comme réponse « sûre de quoi ? » et je savais parfaitement ce qu’elle allait me répondre. Je ne suis pas un lapereau de trois semaines, je savais où elle voulait en venir.
Elle compris que j’avais compris à mon silence.
« - êtes vous sûre que vous avez fais le bon choix?
- bon ou mauvais-je l’ai fais et je l’assume. Le plus important dans la vie ce n’est pas de se demander si on a fais le bon ou le mauvais choix, Non, ce qui compte c’est de faire un choix.
-Oui mais quand on sait qu’on se trompe il est aussi important de faire marche arrière. »
Elle but une autre gorgée, je fis de même et porta lentement la tasse vers ma bouche.
« - vous êtes ici depuis plus de quatre mois. N’en avez-vous pas assez? Il serait temps de sortir de sa cachette maintenant.
- de quoi parlez vous?
-allez, ne me prenez pas pour une bûche! St pierre est votre cachette, non?
- Je vous le répète encore une fois! Je ne suis pas en fuite!!!!
- arrêtez, tenez ce discours là à tous les gens de l’île si vous le voulez mais pas à moi. On ne viens pas s’installer à 20 ans à St pierre et Miquelon. On ne peux pas appeler ça un lieux très attractif pour les jeunes.
-mamie…
-j’ai été jeune moi aussi. Allez, votre cœur doit être guéri maintenant et fin prêt à débuter une nouvelle histoire.
-Je ne sais pas pourquoi mamie, mais je préfère quand vous me parlez technique de tricotage. Mamie, j’aime bien st pierre vraiment. On se sent si différent ici, et si indifférent au reste du monde. Ici plus rien n’a d’importance, plus rien.
- Je ne sais pas à quoi vous jouez, mais si vous êtes en pleine partie de cache cache et que vous attendez que l’on vous trouve ici dans votre cachette prenez garde. Faites bien attention que le jeu ne soit pas finis depuis bien longtemps et qu’on vous ait oublié. Être oublier dans sa cachette, n’est il pas pire que de perdre? L’orgueil en prend un sacré coup
-Je n’attends personne. Je ne suis pas venu ici pour me faire désiré. Je ne le fais pas pour manquer à des personnes et leur faire mal. Avez-vous vu mon forfait téléphonique? Il est proche de 0. Je n’ai personne à appeler. »
Elle sourit, ses petites rides au soleil amplifiait ses traits.
« -Vous devriez peut être prendre des vacances.
-mamie, où voulez vous en venir?
- Je garderais Toto, et vous partiriez loin d’ici. Juste pour un temps et ensuite vous reviendriez pour septembre. Ainsi vous pourriez faire la rentrée des classes.
-oh? Vous êtes au courant? J’oublie à quel point les nouvelles vont vite, le téléphone arabe est lent par rapport à st pierre.
- Oui, encore félicitation.
-Non, c’est pas grand-chose. La maitresse de l’école est mutée en Martinique, elle n’a pas hésité une seconde. Je crois que je la comprends. Et comme personne ne voulais venir enseigner ici alors je me suis portée volontaire, voilà comment on se retrouve maitresse à st pierre.
-Pensez à ce que je vous ai dis…..les petites vacances bien évidemment. »
Toto arriva soudain en courant vers nous suivi du chien
« -mamie, si je donne un pétard à manger au chien Est-ce que tu crois qu’il explose? »
Sacré toto…
Flash
On marchait le long du han, il me tenait la main. Oui, nous ne nous tenions pas la main, IL me tenait la main.
Je ne sais pas, je ne suis pas très à l’aise. J’ai très chaud, je dois être rouge jusqu’aux oreilles, si ça n’a pas décoloré sur mes cheveux j’aurai de la chance. Et puis je ne sais pas, mais mon écharpe m’étrangle un peu, mon manteau est un peu trop chaud, j’ai le nez qui gratte. Et il me tient la main droite, alors je ne peux rien faire, déjà qu’avec le droite je ne suis pas douée alors avec la gauche! Et puis, de temps en temps il sert fort, il me la broie. Enfin il l’a serre fort quand doucement j’essaye de faire glisser ma main pour m’échapper de la sienne. Mais qu’Est-ce qu’il fait chaud pour un jour pluvieux! Je transpire, un truc de dingue, même au sauna je ne transpire pas autant! Et comme je ne peux pas enlever mon écharpe, ouvrir mon manteau, j’ai encore plus chaud donc je transpire encore plus! C’est un cercle vicieux.
Je crois que je transpire particulièrement de la main, elle se liquéfie. Comme on dit ça la fou mal! Ça en deviens beurk, mais je crois qu’il n’y a pas que moi, ma peau qui touche la sienne est aussi humide. On dira que c’est la pluie qui mouille nos mains!
J’ai bien vu, il profite qu’il me tient la main et ne veuille pas la lâcher pour se rapprocher de moi. Il en est hors de question, je tiens à ma distance de sécurité. Il a pas son permis de conduire ou quoi? Et puis en plus avec la pluie et le vent mes cheveux sont dans un tel état que j’ai honte, plus loin il se porte mieux c’est. L’odeur des cheveux mouillés, c’est pas top en plus. Pour être sûre qu’il ne se rapproche pas mon bras est tendu, raide comme un perche pour le tenir à distance.
Je le vois sourire, il est content de sa bêtises, il tourne la tête du côté que je ne vois pas bien et souris, en se pinçant les lèvres.
« -Mais qu’Est-ce que tu fais? Me demande t il tu n’a jamais tenu la main à personne avant?
- Je ne vois pas en quoi ça te regarde.
- mais tu es toute crispé, ton bras est raide. On peut se tenir la main en ayant le bras le long du corps c’est moins fatiguant que de le tenir à 45°.
- c’est pour pas que tu t’approches
-pourquoi? Tu as peur de quoi? Que je t’embrasse?
-ou que tu me pousses encore à l’eau? Non mais déjà que tu tiens ma main à l’encontre de ma volonté…
- les filles aiment qu’on fasse le premier pas en générale.
- et bien voilà je suis l’exception qui confirme la règle.
- oui mais si j’attend que tu fasses le premier pas…je serais en état de décomposition, et les archéologues dépoussiérons mes os d’ici là.
- En même temps je croyais que les coréens allaient doucement dans leur relation, pas à l’occidental.
-attend, qu’Est-ce que tu appelles lent? Ça fait combien de temps que tu me connais.
-euh….je compte dans ma tête…presque 4mois.
- et tu trouves qu’on va vite?
- non mais attend, c’est pas non plus 4 mois d’amour! Enfin je veux dire…je t’es jamais dis que je t’aimais…
- mais tu n’a jamais dis le contraire non plus. Et puis on s’est déjà embrassé, alors se tenir la main c’est rien. C’est pas chronologique parce qu’on est censé se tenir la main avant de s’embrasser, mais c’est quand même dans l’ordre des choses.
- mais n’importe quoi! Faut que t’arrête de danser ça t’atrophie le cerveau! Ce que t’appelles le baiser c’était le truc du parc là, quand tu faisais semblant dormir.
-je ne faisais pas semblant.
-ouai c’est ça! Je ne suis pas la marmotte qui plie le papier de la tablette de chocolat!
-hein?
-non laisse tombé, tu connais pas les vaches violettes…. J’appelle pas ça un baiser c’était juste un quart de seconde ou tu m’a prises par surprise et où tu as effleuré ma peau!
- oh, tu veux un vrai baiser! »
Il s’arrêta de marcher, m’attira vers lui en tirant ma main qu’il avait dans la sienne. Surprise je fis un pas en arrière et me retrouva contre lui.( Et dire que les lectrices attendent ça depuis le 27 novembre 2010, jour du premier chapitre de ma fic).
Et en moins d’un quart de seconde j’étais contre lui, toujours main dans la main. Surprise je le regardais étonnée dans les yeux. Il baissa son visage vers le mien. Il était tellement prés, je voyais le moindre cils, le moindre trait de son visage.
Je ne voulais pas vraiment l’embrasser, lui et moi on a rien à faire ensemble, tous cela n’aurait jamais dû commencer. Je voulais une journée souvenir, comme on prend une photo devant un monument dont on sait qu’on ne reverra plus jamais en vrai. Je voulais une journée souvenir pour le marquer dans mon journal, pour raconter à mes enfants, oui, je suis sortie avec un star. Et ça n’a pas marché, parce que j’ai cassé. Parce que moi j’avais les pieds sur terres et lui la tête dans les étoiles. Mais si on s’embrasse, comment revenir en arrière, comment effacer cette marque qui sera sur moi à tout jamais. Comment classer ça dans la journée souvenir.
Une bande de grand mère passa à côté de nous:
« -arg, ces jeunes, c’est répugnant de les voir s’embrasser en public, c’est pas bien vue en Corée
- oh regarde cette fille est étrangère! On a pourtant de belles filles en Corée pourquoi faut il qu’il aille en chercher une à l’autre bout du monde?
- arg, en plus il est beaucoup plus beau qu’il n’est belle! Mais qu’Est-ce qu’ils font ensemble! On dirait le beau et la bête! Regarde ses cheveux! Une serpillère! »
Elles continuèrent, leur chemin dans mon dos. Kibum me sourit et s’approchât encore plus fermant les yeux et se dirigeant vers mes lèvres.
Après un instant, Il rouvrit les yeux surprit, il me regarda un moment:
« -qu’Est-ce qu’il y a? Je te dégoute tant que ça? »
Au moment où il ne restait plus qu’un deuxième de centimètre j’avais glissé ma main gauche entre nos deux visages. Ils ne c’était aperçu de rien, les yeux fermés et avait touché la paume de ma main.
Il s’éloigna un peu plus de mon visage. Je me sentais un peu mieux si il voyait aussi précisément mon visage que moi je voyais le sien…Je pensais si mes sourcils étaient bien épilés, ma moustache bien décolérée, ma peau bien nette, mes lèvres pas trop gercées.
Les mamies ont raisons, il est beau je suis moche on ne va décidément pas ensemble. On ne met pas en couple les papillons et les cafards.
« non, je ne suis pas sûre que…commençais je »
Il ne me laissa pas finir et m’attrapa la deuxième main, celle qui l’avait bloqué. Il s’approcha, nos nez se touchaient. Il fixa du regard mes lèvres. Je n’avais plus d’arme de défense anti papillon, ou plutôt protège papillon.
En fait si j’en avais une et je venais de m’en souvenir. Il dévorait toujours ma bouche du regard quand juste avant qu’il y ait contact.
« - si tu fais ça t’es mort! »
Il se releva soudain.
« -tu as vraiment le chic de tout gâcher! Si on était dans une fic tu aurais une horde de lectrices qui te détesteraient! Elles le veulent toutes ce baiser! »
Il avait raison, mais moi je ne voulais pas m’avancer sur ce terrain là. En tant qu’ami je l’aime bien mais après plus que ça….J’ai honte de moi-même je ne suis pas à la hauteur de lui.
Je crois que ces deux non baisers lui avait donné chaud (pas de sous entendu), ses mains étaient gluantes, elles me collaient, nos mains glissaient.
« - en tant que casseuse d’ambiance professionnelle je propose qu’on se lâche la main. Parce que ça deviens beurk
- ah toi aussi tu trouves.. »
On se lâcha les mains et chacun de notre côté de manière un peu caché nous nous sommes essuyés les mains un peu humide sur son jean.
Nous arrivions à la fin de la promenade, nous montâmes des marchent et sommes arrivés sur un pont. Au revoir la rivière han, bonjour, la ville, la foule, et la circulation incessante. Depuis que nous étions lâché les mains, l’ambiance était froide, j’aimerais bien rétablir la conversation mais je suis confuse. Je ne voulais pas vraiment agir ainsi, mais je ne voulais pas d’un baiser, je voulais une journée de conversation, une journée pour dire au revoir, une belle journée pour séparer définitivement nos deux chemins. C’est gentils il a retrouvé Lanamie, mais entre nous… non, Lou, reviens sur terre, les stars entre stars, les stars remplissent les magazines. Tous les magazines narrent les rencontres les ruptures, les mariages de stars durent deux ans…non ce n’est pas ce que je veux, je veux un petit copain à mon niveau, pour construire une vie ensemble. Honteuse je restais derrière, à 100 mètres dans son dos. Au moins depuis l’accident des faux baisers, la rupture était entamé, après ça il ne voudra surement plus ma parler. Il s’arrêta de marcher, et s’accouda sur la balustrade du pont. Moi je fis de même 3 mètres avant.
Je regardais, le soleil rougeoyant se coucher, il disparait dans les profondeurs du han. Je regardais les rayons orangés arriver sur le visage de kibum. On ne m’a jamais dis que j’étais belle, même mignonne, les contes de fée ça n’existe pas, je lui ferai perdre du temps et ça se finirait en larme, surement de mon côté. Je n’aime pas pleurer, je n’aime pas les adieux, je préfère quitter avant qu’on me quitte, avant que ça me face mal. Chacun son moyen de se protéger. Le soleil était sur le point de disparaitre quand je demandais:
« - tu as déjà vu un cafard en couple avec un papillon? »
Il se retourna vers moi.
« - viens je te raccompagne, tu ne connais pas bien la ville. »
A-t-il seulement entendu ce que j’ai dit? Il continua et marcha ainsi jusqu’à l’autre côté du pont, moi suivant derrière. Arrivé de l’autre côté je le perdis de vue. mince ou est il parti? Des gens à bonnet et écharpe il y en a plein le rue! C’est bondé à cette heure!
Je sentis soudain une main sur mon épaule ce qui me fit sursauté.
« -reste prés de moi maintenant! »
Le soleil était couché, les lampadaires avaient pris le relais. Et à présent il n’y avait plus de pluie mais un froid glacial. Déjà que j’avais les lèvres gercées mais là elles me faisaient un mal de chien. Aîe! Une partie de ma lèvre venait de s’ouvrir. Je cherchais dans mes poches mon stick à lèvre mais impossible de mettre la main dessus. Je m’arrêtais quelques instant et finis par le trouver, je passais alors la stick sur mes lèvres.
Je repartis et rejoins Kibum qui attendait. On continua à marcher dans l’avenue encore plus bondée que la rue précédente. Le stick avait apaisé ma lèvre mais l’effet se dissipait alors je recherchais mon stick. C’est pas possible j’ai des poches à trou ou quoi? Je m’arrêtais brusquement et fis les poches de mon jean! C’est pas possible je vais bien finir par le retrouver!
« -mais qu’Est-ce que tu as? Me demande Kibum intrigué pas mes arrêts fréquents
-J’ai les lèvres sèches, je cherche mon stick »
Il leva les yeux au ciel et soudain marcha d’un pas décidé vers moi.
Il prit ma tête entre ses deux mains et m’embrassa. Je n’eu le temps de rien comprendre, de rien faire, je n’ai pas pu réagir.
« -eh ben voilà, maintenant tes lèvres ne sont plus sèches! Au fait ton stick à bon goût. Chocolat orange, c’est ça? »
Je restais de marbre, stupéfaite. Le temps venait de s’arrêter. Soudain je sentis dans ma main le stick. Les passants n’étaient plus si nombreux, ils n’étaient plus très présents. Les grand mère pouvaient parler, elles pouvaient dire ce qu’elles voulaient, je m’en contre fichais.
Lou qu’Est-ce que tu viens de faire? Lou redeviens Lou. Il me regardait un sourire satisfait au lèvres. Il est content de son effet? Lou tu es en train de perdre, tu maitrises tout normalement!
Au sans m’en apercevoir j’avais mon stick à la main, et il avait une grande trace de ce stick sur un côté de son visage. Oups, j’ai dû lui en mettre quand j’ai été surprise. Je mouillais mon pouce avec un peu de salive. Je lui tint le menton avec une main et frotta le pousse contre sa joue pour effacer la trace. Il avait un grand sourire, les joues un peu rouges, par le froid et sûrement un peu par la timidité du baiser, il me regardait frotter sa joue.
Je me souvins alors que Lou se devait de faire une réflexion, car c’est moi qui ai toujours le dernier mot. Alors tout en frottant sa joue je dis:
« tu refais ça! T’es. mo. » Il m’embrassa de nouveau, surprise, mais moins, je trouvais ça finalement agréable.
Ce ne fut pas un simple baiser. On entrouvrit légèrement chacun nos lèvres. Je voulu passer ma main dans ces cheveux mais je me souvenu de mon stick que j’avais dans les main. Je le lâchais alors. Il tomba parterre. Soudain je lâchais tous, mes préjugés, mes retenues, mes craintes, mes erreurs, mes envies, mon désespoir, mon amour. Le brouhaha de la rue ne devenait qu’un vulgaire bruit de fond mis en sourdine. Les gens nous contournaient, s’écartaient, nous étions ceux qui séparait la foule. Il y avait des regards, des rires, des exclamations. Mais je m’enfichais, nous nous enfichions. Il ne m’embrassait pas, je ne l’embrassais pas nous nous embrassions. Il faudra que je rachète ce stick, il aime son goût chocolat. J’aime qu’il aime son goût.
Après cela il me raccompagna jusqu’à la porte de mon immeuble qui n’était pas loin du lieu de nos baiser. Il me mit son écharpe qu’il m’avait donner au paravent autour de mon cou. Il faut suivre notre histoire pour comprendre, mais en ce moment même il n’y avait que nous deux qui comprenions. Je poussais la porte de l’immeuble quand j’entendis: « avant d’être papillon, c’était une chenille. Une chenille et un cafard ça ne va pas trop mal ensemble. » Il m’embrassa la joue et partit.
Voilà comment ça c’est passé. Je mis une cuillère de Nutella dans ma bouche.
Les filles avaient la bouche ouverte, na hye laissant un filet de chocolat couler de la cuillère sur son pantalon.
« - eh bin! Vous faites pas dans le simple! Dis Lanamie
- oui mais vous êtes enfin ensemble, depuis le temps finalement tu as choisis numéro 1.
- A ton tour dis je à Lanamie »
Oui c’est bien, mais un papillon n’Est-ce pas éphémère? Mais comment ça va tourner tous ça? Finalement je n’ai pas réussi à mettre un terme à cette histoire. Pourvu que je n’en souffre pas.