PDV HongkiJe m'étais stupidement dit que j'allais l'éviter, mais on travaille au même endroit et désormais on connais les mêmes personnes. Alors même quand je fait tout pour ne pas la voir, je la voit.
J'ai pris les escaliers au lieu de l'ascenseur, en pensant qu'elle prendrait l'ascenseur et je l'ai croisé dans les escaliers, deux fois, sans doute car elle pensait que j'allais prendre l'ascenseur. Je suis descendu en bas prendre un café, en sachant qu'elle était au premier et elle était devant la machine. Je la croise presque a chaque fois que je sort de notre salle, je crois l'entendre alors qu'elle n'est pas là ce qui fait que depuis ce matin je me bouche les oreilles et quand je sort, rarement, je longe les murs. Tout le monde dit que je suis bizarre et que je fais un peu peur. Jaejin me traite de scolopendre, je le traite de poney nain et il soupire.
J'en ai eu ma dose alors je suis allé chercher un café et quand j'ai vu le ciel bleu je me suis souvenu d'une chose : le toit ! J'ai pris dis minutes a trouver la porte, caché derrière une plante verte en fin de vie et deux balais. Ils ne veulent sans doute pas qu'on si rendre, peur des suicides peut être, mais malheureusement pour eux c'est pas un balai brosse et un bonzai qui me retient de passer.
La porte mène à un escalier qui s'éclaire le temps de monter, et encore aujourd'hui la porte extérieur n'est pas complètement fermé. Je suis monté rapidement et j'ai ouvert en grand. Le vent me décoiffa et me réveilla un peu puis la porte claqua dans mon dos. Je me suis étiré en regardant le ciel et j'ai ouvert ma canette avant de m'avancer vers le bord du toit. Avant que je ne puisse comprendre que je n'étais pas seule elle tourna la tête vers moi et rigola avant de soupirer. J'étais a deux mètres de la balustrade, j'allais pas partir dans l'autre sens et puis même si je la fuit je suis pas mécontent d'être seul avec elle. Je me suis donc approché du bord et j'ai but une gorgée. Bokie tourna la tête vers moi mais on ne se regarda pas pendant quelques seconde, peut être même plusieurs minutes. Elle souriait parfois et moi je faisait comme si elle n'était pas là. Je regardais les oiseaux tourner, les voitures au loin et baissait la tête quand j'entendais une voie en bas de l'immeuble. D'ici on peut surveiller tout le monde, pour savoir qui rentre et qui sort, mais je m'en contre fiche. La seule personne dont je me préoccupe vraiment est a deux mètres alors j'ai relevé la tête. J'ai tourné la tête vers elle et elle me regardait. Elle tourna de suite la tête avant de dire : « On se fuit depuis ce matin, mais cette agence est vraiment minuscule... » Elle se retourna pour partir, on ne sait rien dit et elle s'en va déjà. J'ai regardé devant moi pour pas la voir partir avant de l'entendre crier mon nom.
« Quoi ? Demandais je surpris. Quoi ?
-Mais t'es complètement con ma parole ! » Elle était a trois mètres de moi et se rigolais en soupirant.
« Pourquoi t'a fermé la porte ?
-Bah... J'en sais rien.
-Il ne faut jamais fermé cette porte !
-Ou quoi ?
-Ou on reste coincé dehors ! T'as pas vu qu'elle était entre ouverte quand t'es monté ?
-Elle est toujours entre ouverte !
-Oui ! Tu comprend maintenant pourquoi ? » Elle me regarda énervé avant de sourire. Je ne savais pas si elle m'en voulait ou non. Elle secoua la tête dépité avant de venir a un mètre de moi et de se poser contre le muret sans rien dire. J'ai regardé la porte fermé et ensuite Bokie en esperant qu'elle aurait une solution mais elle ne disait strictement rien.
« On peut donc pas redescendre ?
-Tu sais sauter de deux étages sans te faire mal ? Me demanda t'elle.
-Je ne pense pas...
-Alors, oui, on ne peut pas descendre. Moi ça va, expliqua t'elle, je suis déjà resté une nuit sur ce toit, mais toi c'est ta première fois.
Une nuit ? Demandais je choqué.
-Oui, il y a eu un courant d'air et la porte claqua, mon père m'oublia... » Elle passa ses doigts contre le muret et sourit le regard nostalgique mais pas énervé.
« Heureusement on est en juin, il fera moins froid. Reprit elle.
-Mais il faut que je rentre ! Dis je.
-Moi aussi, tu aurais une cigarette ?
-Pour quoi faire ?
-Fumer ! » Elle ne veut donc a aucun moment trouver une solution ? Elle me tendit sa main et sourit. J'ai sortit mon paquet de cigarette de ma poche de jean et je lui ai donné. Elle me remercie et l'alluma avant de me rendre le tout.
« Tu fumes ? Demandais je.
-Parfois. Et toi ?
-Parfois... » Elle sourit. En rangeant mon paquet j'ai sentit quelque chose dans ma poche droite, mon téléphone. J'aurai juste a appelé Jaejin et il viendrait ouvrir mais quand j'ai regardé Bokie je n'ai rien fait. Maintenant que l'on est bloqué ici, si je pose des questions elle devra répondre pas vrai ? Elle aura nul part ou fuir cette fois. Depuis la dispute d'hier j'ai de milliard de phrase en réserve, de jolies phrases a dire qu'il la feront changer d'avis. Je les répète dès que j'ai un peu de temps, pour au cas ou je la croiserai, au cas ou on en reparlerai. Cette fois si elle pourras toujours dire : « Je ne sais pas... » Je la lâcherai pas jusqu'à ce qu'elle crache ce qu'elle a a dire. J'allais prendre une grand inspiration quand elle, elle sortit son téléphone et le regarda avant de se pincer les lèvres énervé.
« Tu as ton téléphone ? Demandais je. Pourquoi tu n'appelles personne ?
-Car je ne veux pas que la connexion sois prise, j’attends un appel. -Et puis j'ai pas vraiment envie de descendre d'ici. » J'ai saisis sa phrase au quart de tour et j'ai dis :
« Moi non plus... » Elle me regarda et j'ai ajouté : « Tu ne peux pas t'enfuir aujourd'hui...
-Tu penses me soutirer des informations ? Me demanda t'elle en riant.
-On a toute la nuit pour ça ! Dis je en riant. Il y a toujours des choses qui me dépasse...
-Sur quoi ?
-Nous... » Elle cessa de sourire et regarda les oiseaux passé avant de soupirer et d’enchaîner :
« Tu ne comprends pas, si ce téléphone sonne, et si la réponse est positive je pars dans moins de deux semaines, qu'est ce que ça apporterai qu'on tente quoi que ce soit ensemble ? Explique moi ? Moi je sais ne pas m'attacher, je pense gérer la chose mais toi...
-Donc tu ne souhaites pas que je souffre ? C'est trop gentil, tu penses a moi en fin de compte !
-Oui ! Arrête de me faire passer pour la salope !
-Et si il ne sonne pas ? Si ce foutu téléphone ne sonne pas ! Si tu n'a pas ce poste a New York, on fait quoi ? » Elle regarda son téléphone, passa le regard sur les toits devant nous avant de me regardé le regard calme.
« Si... si tu restes, dis je en m'approchant d'elle. » Elle ouvrit la bouche pour parler mais ne fit que me regarder dans les yeux. Ils essayaient tellement de fuir sans résultat que j'imaginais la pagaille que pouvait être ses pensées a ce moment même. Elle entrouvrit la bouche, regarda ses mains où la cigarette brûlait sans être fumé et dit : « On est juste pas pareil ! Me dit elle calmement. Je pensais qu'on l'étais mais t'es comme les autres...
-Qu'est ce que t'en sais ?
-Je veux dire par là que t'es un sentimental.
-En quoi c'est mal ?
-En rien. » Elle ria et pris une taff avant de faire tomber la cendre devant elle. « J'aimerai être comme ça, reprit elle, croire aux histoires d'amour, aux comtes de fée, au foutu Happy end. J'aimerai être comme Menma, a ne voir que le beaux coté de la chose mais je suis pas faite comme ça ! Je n'y croit pas du tout. Alors toi tu arrives avec tes ''je t'aime'' et tes jolis regards langoureux et moi en face j'arrive a rien.
-Connerie ! Dis je en souriant. » Elle tourna la tête vers moi et j'ai continué : « Tu m'as déjà donné les mêmes regards, exactement les mêmes c'est juste que tu t'en rend pas compte.
-Tu t'inventes des choses !
-La ferme tu veux ! Pourquoi tu m'as soigné cette nuit là ? Pourquoi tu t'es endormis a coté de moi, ou étais passé ton code : On ne doit jamais dormir ensemble. Pourquoi tu m'a embrassé au toilette ? Pourquoi t'es jalouse de cette fille ? Tu ne vas pas me dire que c'est moi qui m'invente tout ça ! Alors arrête avec ton foutu discours de méchante fille qui n'est pas faite pour aimer, tout ça c'est des conneries, tu es juste lâche ! Tu n'as même pas la force de me dire que tu ne m'aimes pas ! » Quand je l'avais répété cette nuit, tout ce joli monologue ça sonnait pareil mais en moins énervé et en plus... gentil. « J'en sais rien si je t'aimes ou non ! Me cria t'elle ce qui fit peur a des tourterelles. J'en sais strictement rien, la seule chose que je sais c'est que je ne peux pas !
-Pourquoi ?
-Je ne suis pas ce genre de fille !
-Alors tu es quel genre ? Froide et calculatrice !?
-La ferme ! M'ordonna t'elle en tournant la tête vers le vide.
Tu pourrais devenir comme ça si tu faisais confiance aux gens ! Dis je ne m'approchant mais en m'énervant toujours autant. Tu pourrais être comme tout le monde !
-Et je me détesterai ! Me dit elle en tournant la tête vers moi. » On resta sans un mot, le visage a dix centimètre de l'autre et son regard se brisa avant de me regarder les lèvres. Elle avait sa mèche de cheveux qui revenait sur ses yeux qui vibraient de plus en plus.
« Et de toute façons, dit elle tout bas, même si ce téléphone ne sonne pas, je ne reste pas ici ! Alors arrête de t'énerver, ça te rend juste encore plus mignon.» Elle amena la cigarette a sa bouche et se déplaça pour agrandir la distance entre nous. Je l'ai regardé sans un mot, ayant dis tout ce que j'avais en réserve et son regard froid de ses dernières seconde me rendait muet.
PDV Bokie Quand lui en parle ça paraît tellement facile, comme si du moment qu'on était a deux tout allait parfaitement ou ce genre de connerie. Mais moi, dès que je pense a être attaché a quelqu'un je vois ma mère essuyant sa vaisselle de mariage avec ce sourire nostalgique et des larmes au coins des yeux. Je ne veux pas être comme ça, alors oui je suis devenu ce que je suis, une fille qui n'aime personne, qui profite seulement, je suis devenu un mec car je refuse d'avoir des sentiments de fille.
Il dit m'aimer, génial et dans deux ans il pense encore le faire ? Car je pourrais avancer tête baisser, dire a ces petites voies dans ma tête d'aller voir ailleurs si j'y suis mais si je fonce je sais que je vais finir par avoir mal. Et puis de toute façons ce téléphone va sonner... n'est ce pas ? Mon cœur se serra quand j'ai vu l'heure et toujours aucun appel. Elle m'a dit avant seize heure, il est bientôt quinze heure. Si elle n'appelle pas je fais quoi ? J'ai dis a Hongki que je partais de toute façons, mais en faite j'en sais rien. Je ne sais pas ou j'irai et ça prendra du temps. Alors je traînerai encore par là, le croiser, me retenir de sourire, respirer pour calmer mon cœur et toutes ces choses déjà assez difficile comme ça.
Ce qui me tue c'est que plus les minutes passent plus ces splendides regards, ces douces phrases paraissent sincère. Je me déteste de l'avoir fait tomber amoureux de moi, ça peut paraître complètement focul mais je ne suis pas une fille pour lui. Je ne suis pas le genre de fille qui lui faut même si, bordel, personne ne sais a quel point j'aimerai. Je vais réussir a me passer de lui, je ne l'aime pas non plus a n'en plus dormir la nuit, j'ai encore assez de force et si ce téléphone sonne ça m'en donnera encore plus. Je vais très bien aller. J'aurai aimé passé pour une salope mais derrière ces expressions de garçons stupides qui se laisse enfermer dehors, il est assez bon pour lire les sentiments des gens.
J'ai regardé vers le bas et j'ai vu mon père sortir, seul mais au téléphone. Je ne sais pas ou est ma sœur, si elle l'a vu ou non. Quand il m'a appelé pour me dire qu'il voulait la voir, ça paraissait sérieux, et il semblait un peu gêné. Je ne le sent pas, si il rend ma sœur triste, je le descend sur place. Ma sœur est encore toute innocente a ne pas connaître la vraie nature de mon père, enfin pas entièrement. Si il lui fait mal j'ai peut qu'elle ne devienne comme moi.
« Oh ! Dit Hongki. C'est ton père ! » ça fait dix minutes qu'il y a un énorme malaise entre nous. Dix minutes que je compte les oiseaux, qu'il frappe sur le muret avec sa canette en rythme pour paraître moins « coincé de force en haut d'un immeuble » et là il me lance ça avec un énorme sourire. C'est un vrai gamin, et son sourire, et ses lèvres, et ses dents...
« C'est ton père non ? Me demanda t'il en pointant en bas.
-Oui et alors ?
-Bah appelle le !
-Tu veux que je cris ?
-Oui !
-Rêves pas ! » Il me lanca un regard noir et se tourna vers moi l'air énervé avant de grimacer et de se tourner de suite vers le vide.
« Oh merde ! Dit il. Merde, merde... je suis foutu ! » J'ai baissé la tête et mon père se frottait le dessus de la tête.
« t'as fait quoi ? Demandais je.
-J'ai rien fait, ma canette est tombé et... » J'ai écarquillé les yeux.
« Tu as frappé mon père !
-Non !
-Elle était pleine ?
-Non, enfin pas vide non plus ! » Mon père leva la tête, caressa l'immeuble des yeux et quand il arriva au toit Hongki me poussa en arrière.
« Faut pas qu'il nous voit ! Me dit il.
-Toi, il ne faut pas qu'il te voit, mais moi j'ai rien fait !
-Mais si il te voit seul il pensera que c'est toi qui la jeté ! » J'ai soupiré et il me sourit content de son stratagème. « Alors honneur a toi ! Me dit il en pointant le muret de la main. » Je me suis approché doucement et j'ai regardé rapidement, mon père se frottait encore la tête et s’avançait vers une voiture.
« Il s'en va ! Dis je. » Hongki s'approcha a coté de moi comme si un sniper pouvait le descendre, le regard effrayé et les mains dans les poches. Il faisait un pas, une pause, un pas. Il mis trente seconde a faire deux mètres.
« Sur ? Me demanda t'il.
-Oui ! » Il regarda alors vers la rue et dit : « Si il m'avait vu j'aurai été dans la merde ! C'est mon grand patron !
-C'est qu'une canette, il allait pas te virer pour ça, tu lui rapporte trop d'argent ! J'ai appris qu'il s'est acheté un yacht après votre come back !
-Un yacht ? J'ai même pas put m'acheter une cafetière ! » Il râla et regarda mon père entrer dans sa voiture. Moi je le fixait amusé.
« Vous êtes en manque de cafetière ? Demandais je en riant.
-Non, c’était un exemple ! Et puis croit pas, j'ai assez d'argent pour m'en acheter une.
-Je ne crois rien...
-Tu penses qu'il sait que c'est moi ?
-Il n'a rien vu ! Dis je en soupirant.
-Il ne m'aime pas, a mon avis il va se douter que c'est moi ! » Là c'était trop j'ai pas put me retenir de rire. Il regardait la voiture de mon père et la fixait sourcils plissé comme si il la maudissait intérieurement de tous les noms. Ce garçons est stupidement mignon. Il tourna la tête vers moi et cria : « Quoi ? Pourquoi tu te marres ?
-A mon avis il a prit la canette et va faire des expertises ! Dis je en riant.
-Vraiment ? » J'ai encore plus éclaté de rire vu comment il me regardait terrifié. Je me suis enfin calmé et il râla avant de se pencher vers le muret. Il bougonna et on regarda vers le bas ensemble sans un mot. Le silence fut tellement long que quand mon portable sonna au bout de mes mains tendis dans le vide, j'ai sursauté et le téléphone m'échappa. J'ai crié comme pas possible et il tomba dans un buissons.
« Nan Nan ! Nan reviens ! Criais je. » Hongki était entrain de rire sans même avoir la gentillesse de se cacher et il pointait le buisson du doigt.
« C'est ça venge toi ! Dis je. Mais merde j'avais un appel ! Si il est cassé je te tue !
-En quoi c'est ma faute !
-Tu as commencé la chaîne ! Depuis tout est attiré vers le bas !» Il ria a nouveau et dit : « Il est tombé dans un buisson, il doit être en vie ! » J'ai espéré de tout cœur qu'il avait raison en fixant le buisson. Si c'était elle et que ça lui a raccroché au nez elle va penser quoi ? Et si j'ai plus de téléphone je fais comment ! Je l'aimais en plus ce foutu téléphone. Hongki riait encore en me regardant du coin de l’œil. Il doit être tout content que je n'ai pas eu cet appel. Je le hais !
« Au moins moi j'ai assommé personne ! Râlais je. Il faut que je descende ! Arrête de rire ! »
Quelqu'un sortit du bâtiment et j'ai reconnu un guitare, qu'on me prenne pour ue folle je m'en fout, je dois descendre.
« Eh le guitariste ! Criais je. Lève la tête ! » Le type leva la tête et me regarda étonné puis se pointa du doigt.
« Oui toi ! A qui tu veux que je parle ? Viens ouvrir la porte qui mène au toit ! Et fissa ! » Le grand me regarda sans un mot avec que j'ajoute :
« Bon t'attend quoi ? Que j'apprenne a voler ?
-Hyung ! Cria Hongki en arrêtant enfin de rire. Tu peux monter ? On est enfermé dehors ! » Le guitariste rentra a l'intérieur en vitesse.
« Tu le connais ? Pourquoi il m'a pas obéit a moi ? Demandais je.
-Je connais tout le monde ici, et car tu fais peur ! Tu as vu comment tu lui criais dessus ? A mon avis ça le rassurait de te savoir enfermé sur le toit... » Il ria encore. Il arrête jamais ma parole, d’où c'est encore drôle ?
« Arrête de rire ! Ça m'énerve !
-Pourquoi je suis aussi mignon quand je rigole ?
-C'est pire que ça ! Alors arrête ! » J'ai regardé la porte, en espérant que se grand garçons trouve la porte avant que le jardinier trouve mon téléphone. J'ai soupiré et regardé Hongki qui me fixait.
« Quoi ? Demandais je. » Il ne dit rien, s'approcha, passa ses mains de chaque cotés de mes joues et approcha son visage.
« Tu fais quoi ? Demandais je.
-Je profite avant que t'es ce foutu appel ! » Il m'embrassa alors sur les lèvres, sans rien forcer, juste gentiment, comme si j'étais faite de verre et la porte de l'escalier grinça. Il retira alors ses lèvres et me sourit avant de me tapoter le dessus de la tête. Mon cœur frappa, frappa dans ma poitrine et je l'ai regardé sans même savoir quoi dire. Bordel, voilà maintenant je n'ai plus du tout envie de descendre et encore moins d'avoir cet appel. Il se recula et salua son Hyung avant d'aller a la porte.
« Pourquoi tu n'as appelé personne ? Demanda le guitariste.
-Je voulais pas descendre, répondit Hongki. Elle si mais moi j'étais très bien là ! »
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