voilà ma premiére fiction, le premier chapitre est plein de suspence et peut vous semblez bizarre mais aprés ça ira mieux. Concernat la ou les stars de ma fic, c'est pour le moment la surprise.....

En espérant que vous aimerez:

Casier 501

Ce que je vais vous raconter, n’est pas une belle histoire de conte de fée, ce que je vais vous conter n’est pas quelque chose d’exceptionnel qui n’arrive qu’à des gens qu’on ne connait pas. Le personnage principal n’est pas non plus une belle héroïne ou femme parfaite. C’est une personne comme vous et moi avec des qualités et des défauts. Ce que je vais vous raconter n’arrive pas que dans les livres ou aux autres. L’histoire que je vais vous raconter est la plus commune des histoires avec les personnages les plus communs. D’ailleurs vous ne vous en doutez même pas, mais vous les avez déjà surement rencontré dans la rue sans même vous en apercevoir. D’ailleurs ils sont déjà prés de vous. Ne vous attendez pas à pleurer et à rire, attendez vous juste à ne plus regarder les passants de la même manière.

Cela commença, comme commence toutes les histoires, et donc par une immense joie qui précède bien souvent une tristesse . Et oui les sentiments sont comme le temps, après la pluie le beau temps, après le malheur un bonheur, et ainsi de suite. C’est vrai ça, ma vie c’est un peu un compte de fée qui aurait mal tourné, comme si la fée ne serait pas apparu au bon moment. Cependant, je continue de chérir ses souvenirs doux, c’est seulement que je les effleures du bout du doigt.

Je porte mon sac, un sac à main plutôt lourd et encombrant, vous savez tellement lourd qu’on se demande à quel moment il va nous déboiter l’épaule. C’est vrai ça c’est idiot, on met du temps pour choisir son sac à main, et puis on le prend il est vide au départ, et après le temps passe et on le remplis de plus en plus. Un porte feuille, un parapluie, un livre, une brosse à cheveux, quelques cachets aux cas ou, et voilà maintenant on a toute sa petite vie dedans mais le plus dur c’est de retrouver se qu’on cherche. En fait la vie, c’est un peu comme un sac à main, au début on est vide, on choisit sa vie, on fait des choix, et voilà plus le temps passe et plus on se remplit d’expériences, de souvenirs, de rencontres, de bonheurs et de malheurs. A la fin on ne sait toujours pas ce qu’on cherche dans la vie, qui on est ou où on va, mais on n’a remplis sa vie. Parfois c’est lourd à porter, on à l’impression qu’on va se casser en mille morceau et parfois on à l’impression qu’ avec tous ça on est riche…
N’empêche je pars toujours avec mon plus grand sac main quasiment vide et je le ramène toujours plein, prés à céder.
J’arrive au contoir:
« -bonjour, dit chaleureusement l’employée
- bonjour, j’aimerais un billet d’avion
- quel destination? Me répond elle
- la plus lointaine s’il vous plait.
-ah, c’est original, et pour de vrai?
- je ne plaisante pas, la plus lointaine dans un pays inconnu, choisissez le vol qui à le plus d’heure de vol s’il vous plaît.
- heu, St pierre et Miquelon, ça vous convient?
- oui très bien
- cela fait 20h de vol
- vous savez, je m’en fiche un peu, maintenant le temps n’a plus d’importance, un allez simple s’il vous plaît »
La dame me regarda d’un air étrange, comme si j’étais un fugitive ou bien quelqu’un qui fuit pour se faire oublier. Elle n’avait pas tord, je veux me faire oublier, ce bonnet et ces lunettes, me rendent suspectes, mais au moins je reste une inconnue maboule à ses yeux.
« Vol n° 43214 à destination de St pierre et Miquelon va bientôt décoller, nous prions les derniers voyageurs de se présenter le plus vite possible à la porte d’embarquement »
Zut, je suis dans la queue pour enregistrer mes bagages, tant pis pour mes bagages, je ne garderais que mon sac à main. De toute façon à quoi me servirais tous se fatras, à par me rappeler des souvenirs et pleurer dessus. Alors je le met dans un casier prévu à cet effet, je garde la clé et rentre le code. Un code, ce code, 4 chiffres que j’aimerais oublier. Mais comment faire…
Je me dirige vers l’avion puis juste avant l’embarquement donne la clé à une petite fille. Je veux me débarrasser de tous, de plus avoir d’occasions de revenir, j’aimerais devenir amnésique. Mais je n’ai pas la force de jeter la clé alors je la donne à cette petite fille haute de 3 pommes et qui n’a pas plus de 5 ans.
« -eh toi, ta poupée est très jolie! Ce ne serait pas par hasard la nouvelle poupée qui viens de sortie qui a une caméras intégrée?
- si, répond la petite fille aux cheveux et aux yeux noir de jais
- Je vais t’offrir cette clé, ne le dis à personne, mais je suis une fée et j’ai des pouvoirs magiques.
La petite fille a l’air visiblement intéressée
-cette clé te mènera à un trésor, quand tu ouvrira le coffre tu auras la plus belle robe
- sérieux, c’est vrai! Plus jolie que celle de cendrillon?
-bien sûre, tu sais celle de cendrillon était en fait mon tablier, mais tu comprends ce jour là je n’avais que ça sur moi.. Par contre tu ne devra en parler à personne et n’ouvrir le trésor qu’à tes 18 ans. compris?
-compris
-allez, je te laisse, je dois aller fournir Peter pan en poudre magique, sinon il ne pourra pas voler »
Je l’ai laissée et je suis rentrée dans l’avion., je me demandais si un jour elle trouverai ma valise remplit de vêtements de grand couturiers. Cela fait bizarre de partir sans que personne ne me dise au revoir, pourtant j’ai un sentiment étrange, comme si on me cherchait en ce moment même.

OMOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO j'adore ton histoire je suis fan!!! *o* woooooooooooooooooooooooow j'aimenrais être à la place de la petite fille! ^-^ mdrrrrrrr
j'aime beaucoup j'ai hâte de voir la suite!! ^^ bravo!!!!

merçi beaucoup, étant donné que c'est ma premiére fan fiction, j'espére vous intéresser.

oui ne t'inquiète pas c'est super le débu !!!! je veux la suite ^^ stpppppppppppppppppppppppppppppppppppp

Kyaaaaaaaa j'adore !!!!
JE suis fan à 200% !!!!!!!!!!!!!!
Hum...Je penses aussi aux SS501, mais j'attends de voir la suite pour confirmer mon hyppyhèse!!

Wouahhhhh bon debut j adore je veux la suite

Les stars seront révélées dans le chapitre 3. J'espére que vous aimerez ce chapitre



Chapitre 2:

Si je devais décrire ma vie en un mot, je n’y arriverais pas, si je devais décrire ma vie en une musique, je n’y arriverais pas, mais si je devais décrire ma vie en un visage, oui j’y arriverais. Si je devais décrire ma vie en une couleur, alors j’y arriverais.
Ce visage serait joufflu, mais pas trop, il aurait des yeux profonds et brillants vous savez ces yeux dans lesquels on se perd, on se noie, et qui deviennent finalement addictifs.
Ce visage ne serait ni heureux, ni malheureux mais ce visage ne serait en réalité qu’un masque trompeur. Un visage en qui j’ai cru, un visage en qui j’ai espéré un visage qui m’a trompé.
Pour la couleur se serait pourpre, couleur romantique et intense, mais aussi celle de la douleur, du sang et de la guerre, la couleur encore sanglante de mes cicatrices, celle qui que je porte en moi et celle qui me brûle sur mon visage, un peu en dessous de mon œil.

Je m’assoie à ma place dans l’avion, j’hésite, devrais je enlever mes lunettes et mon bonnet?
Je ne sais pas, je suis encore dans le camp ennemie, il serait peut-être préférable que je garde ce déguisement. Seulement j’étouffe là-dessous, j’étouffe de me cacher comme si c’était moi la coupable, j’étouffe sous mes souffrances, j’étouffe sous le silence, j’étouffe, j’étouffe, J’ETOUFFE!

Je me réveille en sursaut, que c’est il passé? Où suis-je? L’avion à déjà décollé? Où vais je?
Mais pourquoi j’étouffe?
Un peu agité je regarde autour de moi quand soudain je comprend d’où provient ce poids insupportable!
Une grand mère est à moitié vautrée sur moi, son torse est sur mes genoux, elle s’appuie d’une main sur mon ventre et l’autre sur la paroi de l’avion. Non, elle n’essaye pas de me faire un massage cardiaque elle essaye juste de regarder par le hublot qui est de mon côté.
« - excuser moi mais si vous continuer à vous appuyer de cette manière sur moi je vais finir par m’évanouir.
- oh, vous êtes réveillé, excuser moi mais le lever de soleil est magnifique!
- vous savez si vous continuez de regarder de cette manière le soleil celui-ci va vous brûler la rétine. Dis-je »
Je ne comprend pas, qu’est qu’il y a d’extraordinaire dans un levé de soleil, le soleil se couche puis se lève un point c’est tout. Soudain je me rend compte que l’air de rien moi aussi il y a peu de temps je n’avais d’yeux que pour un astre, non pour le soleil mais pour une étoile, j’avais été fasciné mais je m’étais brûlée.
En fait dans l’histoire humaine beaucoup on été attirés par les astres et tous ont péris, que se soit Icare, moi ou cette grand mère, tous sont fascinés et tous se sont brûlés. C’est bête un humain, mais au moins ça nous fait un point commun.
« - alors dîtes moi qu’allez vous faire à St pierre et Miquelon? Me demanda-t-elle en se relevant
- je ne sais pas, nous dirons de grandes vacances
- des vacances ? Et vous travailler dans quoi? »
C’est bien m’a veine, une grand mère inspecteur de police, qui maîtrise l’art de l’interrogatoire et de la torture. C’’est bien m’a chance! Je m’enfiche elle peut bien m’étrangler ou me brûler la rétine avec le soleil je ne parlerai pas! Na! Mais pourquoi j’attire les personnes âgés? C’est vrai ça un vrai aimant, c’est simple les personnes âgées et les enfants de moins de 10 ans me coïncidèrent comme leur amie! Et dire que je suis à côté d’elle pour 20h! Et si je faisais semblant de dormir? hein, ça marche bien ça!
« - écouter, je suis en vacances alors je n’ai pas envie de parler travaille vous voyez!
-oh, je dis ça comme j’aurais pu vous demander si vous avez un petit copain
- non écoutez cette question là non plus ne me plaît pas, d’accord! Alors la grand mère professionnel de l’interrogatoire reconvertie en animatrice de question pour un champion elle va tricoter et me laisser tranquille!
- Je vois un chagrin d’amour! »
Mais c’est pas vrai, c’est qui cette grand-mère? C’est une psy?
Et puis pourquoi je m’emballe, je ne dois pas faire de vague, je ne veux pas me faire remarquer, passer inaperçu oui, c’est ça. Et puis cette pauvre grand-mère ne m’a rien fait de mal, ce n’est pas sa faute à elle. Et puis les grand mères je les aiment bien.
« - St pierre et Miquelon, c’est grand comment? demandais je inopinément d’un ton posé et calme, comme si rien ne c’était passé.
- 10000 habitants
- ah, et le climat?
- niveau température, le maximum que j’ai connu durant l’été le plus chaud de l’histoire. été 80, c’était une vrai canicule
- ça n’a pas été trop dure? Vous aviez la clim?
-pensez vous, dit elle en rigolant, il avait fait 16 degré.
-comment ça 16 degrés?
Oui le maximum lors de la canicule des années 80, c’est 16 degrés
- vous plaisantez là
-non »
Soudain, j’ai regretté, je n’aurais pas du choisir une île déserte par heure de vol mais par température! En plus je n’ai plus ma valise! Je n’est que ce débardeur avec mon gilet! Ma vie se terminera au débarquement. Je vois les journaux: une femme morte congelé en sortant de l’avion!
Le point positif est que j’ai mon bonnet, mais que mon bonnet!
« - eh bien la terre peut bien encore se réchauffer! Dis je
- oh vous verrez vous vous habituerez vite, le plus drôle c’est quand vous êtes obligé d’attendre midi pour sortir de chez vous. »
là je fit une tête qui était à mis chemin entre le désespoir, la colère le regret. J’hésitais entre m’effondrer en larmes ou tomber dans la folie. Devrais je sautez dés maintenant de l’avion. Une morte courte et sans douleur
« -pourquoi à midi?
-eh bien parce que l’hiver, le soleil ne se lève cas midi pour se coucher à 14h
- je comprend mieux pourquoi vous aimez le soleil. Vous le voyez si peu. »
Finalement cette grand mère est sympathique.
Au bout de quelques heures de discutions, la grand-mère s’est assoupie contre mon épaule.
Je profite alors de ce moment de calme pour me souvenir à quel point j’aime voyager, ce que je préféré dans les voyages c’est l’excitation du départ. On a l’impression qu’on part à l’aventure, comme Indiana Jones, vers une terre inconnue et plein de possibilités.
Et puis l’avion, c’est un peu un espace à part, on est nulle part, partis mais pas encore arrivé, entre terre et nuages. Le temps s’arrête durant quelques heures, d’ailleurs personne ne sais l’heure, l’avion est hors de tous, hors des problèmes, hors du temps hors de terre. C’est comme une machine à voyager dans l’espace. Seul le petit point lumineux qui scintille sur une carte du monde sur l’écran en face de moi me rappelle que je suis attaché à cette foutu terre. Si seulement je pouvais rester pour toujours dans cet avion, pas de passé, pas d’avenir. Personne ne sait rien, je n’ai rien à prouver, je n’ai cas attendre et rêvasser. Le petit point lumineux scintille, encore et encore vers une destination inconnue, et mes paupières commencent à tomber. Scintille, scintille…

Je me souvient, cela avait commencé de la même manière, un départ en vacance en direction de Séoul.
Et puis ce visage qui revient encore, un visage doux, cette rencontre. Un sentiment tous chaud et doux comme de la guimauve. Je m’en souviens encore, comment ne pas m’en souvenir!
Dans l’aéroport, j’avais perdu ma valise, oui c’est ça ma valise. Je m ‘étais effondré en pleur, et les gens qui ne comprenaient pas. Oui, dans ce temps là je ne pouvais parler avec eux, dans ce temps là j’avais besoin de ma valise.

Soudain je vois son visage a lui rire, non ce visage n’est pas doux, non je n’ai plus se sentiment chaud, j’ai froid très froid. Il rigole, non ricane et d’un seul cout me donne une gifle. Je sens une brûlure, mon visage me brûle. Cette cicatrice.
J’entend quelqu’un qui hurle qui me cherche, mais ce n’est pas le même garçon, ce n’est pas le même visage.
Il me cherche, il crie mon prénom dans l’aéroport.
Les images s’enchainent, le visage de la petite fille, le visage du garçon me giflant, et l’autre, l’autre qui me cherche et hurle mon prénom.
Soudain un vrombissement, je vois la petite fille faire un bruit de porte qui grince, ou bien de rat. Ce bruit est de plus en plus fort.
Je me réveille et vois que c’est la grand-mère qui ronfle, elle fait le même bruit qu’un poids lourd au démarrage.
Sacré grand-mère!
Pourtant ce garçon qui me cherche dans l’aéroport, c’est bizarre, il m’appelle.

OMO J'aime de plus en plus !!!!!
Mais il y a beaucoup de suspens !!!!!!!! n____________n
MDR La grand-mère!!!!!
-ça me rappelle quand tu nous avais raconté que pour aller au WC dans l'avion t'avais grimpé sur les sièges de devant, xDD)

Merci pour cette suite !!!!!!!!!!!!!

Ah j aime j adore j ai hate de lire la suite que de suspense

j'adore! Mais alala ce suspence! Mdr

les plus perspicaces seront qui est la star

Chapitre 3

C’est drôle, des fois dans la vie on a l’impression qu’on peut soulever des montagnes, et que même si ces montagnes étaient en plomb et qu’un géant était assis dessus on pourrait quand même soulever la montagne, et puis des fois on a l’impression que si une plume était en travers de notre chemin, on n’y arriverait pas. D’ailleurs pourquoi l’expression soulever des montagnes? C’est vrai ça, c’est un truc à rester coincé! Vous vous démenez pour soulevez une montagne, vous êtes à 2 doigts de vous faire une déchirure des muscles des épaules, une fois que vous avez fait le bouleaux tout le monde en profite pour passer en dessous pour ne pas à avoir à contourner la montagne et puis voilà vous vous êtes fait avoir! Il n’y a plus personne autour de vous, vous êtes seul à porter se poids. Il y a forcément un moment où vous allez lâcher! Et à ce moment là que ce passera-t-il? Vous serez écrasé par la montagne? Ou bien la prochaine personne qui passe vous lui donnez votre fardeau, il n’aura cas se débrouillé? Se serait égoïste!
Ce que c’est bête, il vaut mieux contourner la montagne que la soulever, cela mettra plus de temps mais ce fardeau sur humain ne se transmettra pas d’homme en homme. Je devrais aller le dire au géant atlas qui lui porte la terre sur son dos. La prochaine fois qu’on vous demande de soulevez une montagne, fuyez! C’est soit un inconscient de la charge que cela représente ou un imposteur qui cherche un remplaçant pour porter son poids!
C’Est-ce que je fais, je fuis tant qu’il en est encore temps!

Je regarde la grand-mère dormir, vous savez c’est mignon une grand-mère qui dort, tout autant que les bébés, mais ça n’a pas le même charme dirons- nous. Je regarde de prés les petits plis de sa peau, elle est comme la terre, son visage a des collines, des chaines de montagne et puis des vallées. Ça monte et ça descend, des vrai pistes de skis, pauvre grand-mère. Si chacune de ces petites montagnes est la marque d’une montagne qu’elle a soulevé dans sa vie, alors sa vie à dû être dure.
Soudain prise de panique, je cherche un miroir au fond de mon sac, oh là là, si les montagnes soulevées se marque sur notre visage mais qu’elle tête je vais avoir. J’en ai soulevé tellement ces derniers temps. Je tourne la tête à droite, puis à gauche. Ouf, mon image dans le miroir n’est pas défigurée, juste cette marque sous mon œil. Partira-t-elle un jour?
En fouillant dans mon sac je vois un petit snack emballé dans un papier rose.
Cela me rappelle la première fois que j ‘en ai mangé.

J’avais perdu ma valise, enfin plutôt ils avaient perdu ma valise. Comme d’habitude, j’ai une chance folle, j’ai 1 chance sur 50000 qu’ils perdent ma valise et bien c’est tombé sur moi. Oh yé les gens je fais une annonce, grâce à moi les compteurs sont remis à 0, n’ayez crainte de perdre votre valise.
Je vais donc au comptoir perte de valise, oui mais voilà, j’essaye de lui faire comprendre en Anglais. Je suis complètement engouasse et les larmes me montes comme des vagues qui vont venir se percuter sur les rochers. Déjà que je n’ai pas un accent terrible en anglais, alors là fatigué après des heures d’avion, ma gorge qui se serre, ma voie tremblotante et l’envie de fondre en sanglots le pauvre monsieur coréen de comprend rien.
Et comme il comprend rien, je tombe en plein désespoir. Un rideau de larmes tombent, et je vois plus rien, je pleure comme une gamine de 10 ans à qui on aurait volé sa sucette. Oui mais c’est ma sucette à moi, je suis fatigué, j’ai faim, j’ai envie de dormir et….
Oh, monsieur du comptoir qui comprend rien, je vous remercie, vous être gentil. Celui-ci vient de me donner une canette de café toute chaude et propose que je m’assoie.
Mes sanglots disparaissent au fur et à mesure que je bois le café, monsieur du comptoir qui comprend rien est quand même drôlement chou et drôlement compréhensif. J’ai comme un sentiment de honte qui m’envahit. C’est vrai ça qui je suis moi? Le pauvre j’ai du lui faire drôlement peur!
Je revoie maintenant la scène, moi me jetant sur son comptoir en commencent à hurler un truc incompréhensible. Je ne lui ai même pas dit bonjour! Et moi qui continuait à m’énerver et à pleurer. Normalement j’ai le sang froid, mais là je comprend pas. Je commence alors à m’excuser en anglais auprès de lui, heureusement il parle anglais. Il me dit que ce n’est rien, il comprend que la perte d’un bagage et la fatigue peut rendre disproportionné la situation. Oh monsieur de comptoir sympathique, vous êtes adorable. Je lui explique que j’ai attendu très longtemps autour du tapis roulant pour récupérer mon bagage, plus ça allais plus je paniquait. Et de voir que tous les gens avait le leur et partaient et que moi je n’avais pas le mien, j’avais l’impression que c’était une conspiration. Il m’a fait remplir des papiers, et m’a dit qu’il ferait le possible pour le chercher. J’ai alors téléphoné à Na Hye une amie pour lui dire de pas s’inquiéter du fait que je sois en retard. Heureusement que j’avais mon sac à main. Il m’a décidément sauvé plus d’une fois. J’ai remercié monsieur du comptoir sympathique, celui-ci me donna ce snack en papier rose bonbon et m’a dit de manger pour reprendre des forces. Je repartis en lui disant au revoir de la main.

OK, il ya 5 minutes, j’ai été gentille et j’ai fait des compliments sur la beauté d’une grand-mère qui dort, mais là je dis non! Grand-mère vous allez trop loin! Vous voulez que je retire ce que j’ai dit ou quoi? Déjà que je vous prête mon épaule mais là….A non je peux pas, oh non ça vient vers moi! Il faut que je réagisse! De la salive était suspendue aux lèvres de grand mère, ça faisait comme un petit chemin, ça avançait drôlement vite vers moi! Une vrai menace!
On se rend pas compte comme ça mais la salive était rapide, comme une avalanche. Oui mais voilà mon bras était engourdi et coincé par la tête de mamie. Un triste sort va arrivé à mon bras. L’avalanche fondait sur moi à une vitesse impressionnante, j’essayait de retirer mon bras mais cela faisait le même effet que si un sapin le coinçait. Je me suis dit que c’était ma fin, j’allais périr sous cette avalanche de salive. Oh non elle rentre dans la dernière vallée avant de tomber sur moi. NOOOOOOOOONNNNNNNNNNNNNNN! Criais je
Au derniers moment un miracle se produisit et je réussi dans un effort ultime à retirer mon bras. Alléluia! Il existe donc un dieu des victimes des avalanches de baves! Merci.
Je me rendis compte qu’ayant retiré mon bras et donc mon épaule la grand mère était complètement tombé sur l’accoudoir, pauvre mamie la chute à du être dure.
Celle-ci se réveilla et je fis comme si de rien n’était.
« -Bonjour grand-mère, vous voulez un snack?
- que m’ai-t-il arrivé? J’ai fait un drôle de rêve, comme si quelqu’un me voulait du mal et m’avais assommé. Dit elle en me regardant suspicieusement »
Là j ‘ai commencé à paniqué et surement à rougir. Elles savait donc que c’était moi, je me voyait déjà en photo sur la une d’un journal « maltraitance d’une grand mère, la honte s’abat sur elle »
Les gens autour de nous commençait à nous regarder bizarrement et des murmures se faisaient entendre, ça m’étonne pas les gens sont toujours friands des choses qui ne les concerne pas!
En plus mon crie et l’histoire de la grand-mère ont dû les alerter, ils serait de bon ton que je me calme si je ne veux pas finir le voyage menotté. Et puis mes lunettes noires renforcent les suspicions ( oui j’ai enlevé mon bonnet j’avais trop chaud)
« -grand-mère, vous avez beaucoup d’imagination! Alors ça vous dit un petit snack? Dit je avec un petit sourire coincé entre la peur el l’envie de la faire taire
-oh, mais dites moi c’est drôlement attentionné, vous n’essayerez pas de vous racheter par hasard? »
Et voilà les gens de l’avion recommencent à me lancer des regards accusateurs. Il faut que je réagisse maintenant si je ne veux pas que ça aille plus loin.
« -grand-mère, je ne comprend pas pourquoi vous ne m’aimez pas. Je vous prête mon épaule pour dormir, et je vous propose un gâteau et vous voulez me brûler la rétine et m’accuser de maltraitance. Je répondis avec un regard de chat battu même si en moi j’avais un grand sourire, et tac! Prend ça grand-mère!
- J’aime pas les gâteau qui sont dans du papier rose c’est tous, et je suis toujours de mauvaise humeur quand je suis brusquement réveillé.
- eh bien rendormez vous . dis je, en pensant que j’était plus tranquille quand elle dormait 
-non j’ai plus sommeil.
Je me promis intérieurement de jamais travailler dans une maison de retraite
-tenez mamie, lisez un peu. Lui dis en lui tendant un journal »
Et là en voyant la première de couverture le garçon, ce garçon. Ma main commença à trembler

D’un seul coût cela me ramena dans le passé.
Après une semaine, j’avais reçu un appel de monsieur du comptoir sympathique me disant qu’une personne du vol avait pris ma valise en le confondant avec la sienne et qu’il voulait me la rendre.
J’étais vraiment très heureuse, j’allais enfin retrouver ma valise et mes affaires. Je téléphonais donc à la personne qui avais trouvé ma valise, heureusement celui-ci parlait anglais. Encore un soulagement!
Nous nous fixâmes un rendez vous dans un petit café, qui se situait dans un parc.
Bien sûre, Séoul était pour moi une grande géante, dont je ne comprenais strictement rien, heureusement que le gentil monsieur du taxi m’a déposé juste devant le café, sinon je serais encore en train de errer dans les rues.
Je m’étais fait plein d’idées, celles des gamines pensant rencontrer leur prince chemin toute les 2 rues. N’empêche j’avais espéré que se soit un beau garçon qui me rende cette valise. Dans ma petite tête, de jeune fille bêtement heureuse, je passais en revue tous les gens qui avaient été dans le même avion que moi. D’ailleurs, il y avait bien un ou 2 garçons qui étaient plutôt mignon, se pourrait il que …
Soudain j’ai croisé son regard, au premier coût d’œil on s’est reconnu. C’était comme si on connaissait tous de l’autre, enfin surtout moi sur lui. Il était là à m’attendre. Je n’avait plus envie de le quitté, plus jamais. Je sais c’est idiot, mais j’avais envie de le touché, de l’embrassé. Il est vrai que je ne crois pas que se fut pareil pour lui. Il est parfois du genre froid vous voyez. Quand je l’ai vu je me suis dit qu’il avait pris des risques inconsidérés. Mon regard pour lui était chaud et attendrit, combien de temps m’avait t il attendu ainsi? Je vous avouerai qu’avec le monde qu’il y avait autour de nous je me suis sentit gêné, et si on nous regardait, j’avais envie de lui sauter dessus, mais ça ne se fait pas. Après tout il ne me connait pas encore très bien, et puis on risquerait de se faire repérerez, enfin surtout lui! Trop tard, c’était plus fort que moi, il a fallu que je lui saute dessus, en hurlant!
« -Mon SAAAAAAAAAACCCCCCCC, tu m’a manqué!!!!! Ça fait longtemps que tu attends là! J’ai eu tellement peur! Maman est là!! On ne t’a rien fait j’espère, je vois aucune marque de déchirure. Mais comment tu es arrivé là! Hein? En plus un sac louis puis-t-on, nouvelle collection qu’on m’a offert pour mon anniversaire! Je pensais ne plus te revoir! »
Je l’ai ouvert pour voir si toutes mes affaires étaient là. Oui, elles étaient là.
«  -hum 
-Au mon pyjama, si tu savais comme tu m’as manqué, j’ai du porter un vieux tee-shirt tout pourri
- hum, hum »
J’ai levé la tête et j’ai vu un drôle de bonhomme, je me suis soudainement trouvé un peu bête.
C’est vrai que à genoux, parterre, entrain de serrer dans ses bras un sac et lui parler, c’est pas vraiment ce qui fait le plus sain d’esprit. Je me suis alors rapidement relevé en passant ma main sur ma robe pour enlever les quelques poussières.
« - bonjour me dit il
- heu, bonjour »
Il me tendit la main, j’eu un peu peur et j’ai hésité un instant, cela la mis mal à l’aise alors dans un mouvement brusque il retira sa main tendu vers moi . Moi avec mon temps de réaction d’escargot, j’ai trouvé que je n’étais pas très polie, alors j’ai tendu ma main. Cela a été un ballet, la mienne chassant la sienne. en fait je n’aurais jamais dû toucher la sienne.
Sa coiffure me faisait peur, mais le plus était quand même ses vêtements. Un peu trop efféminé avec une coupe un peu bizarre. Et puis c'est quoi ce pendentif?une clé? mais il a quel âge!C’est vrai quoi on a pas idée de laisser une touffe de cheveux sur le moitié de son crâne et raser l’autre! Son coiffeur c’est endormie durant la coupe ou il avait plus assez d’argent pour payer l’autre moitié de la coupe? Nan je vous dit vraiment étrange. Il était dans l’avion lui?
Oh mon dieu! Ce doit être un dileur qui va me faire chanter ou bien il veut que je lui donne de l’argent!
Peut être que je devrais appeler la police!

MDRRR !!!!!!!!!!
Sa réaction en voyant son sac, c'est E-X-A-C-T-E-M-E-N-T.... LA MIENNE !!!!!
xDD.

Sauf que moi.....Disons que ce que j'avais perdu, c'était...Une chambre, xD.
Mais bon, on s'en fiche.^^

J'aime beaucoup beaucoup la suite !!! Le garçon, je sais pas qui c'est, même si la description me fait trop penser à quelqu'un. JE sais plus qui >.<

merci à tous! je n'en reviens pas 100 personnes on eu le courage de venir voir ma fic!
merci enormément!!!!

Pourquoi le courage ? O.O
Elle est trop bien ta fic !!!!!!!!!!!!!! Sinon, on viendrai pas !!!!! xD.

alors heu, merci de lire ma fic? ça va comme ça? Je n'ai pas l'habitude de faire des déclarations publiques! lol! sinon tu as retrouvé ta chambre? mdr!
Tu es encore plus forte que moi! lol

mdrr.
Oui, j'ai retrouvé la chambre (enfin, son code, car c'était une chambre d'hotel) et quand je suis rentrée, j'ai pas arrêté de sauter partout en criant: ma chambre chériiiie !!!!!!!!
Puis j'ai sauté sur le lit, en continuant à crier, xDD.

mdrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr la réaction en voyant le sac!!!!! hahahahaha j'ai cru qu'elle parlait du mec au début !!! hmm le mec me fais pensé a soit à jaejin ou soit a key des shinee ben oui tous les deux on fait une coupe bizarre un moment mdrrrrrrrrrrr

Ah j aime bon pour la personne mystere j ai tout de suite pensé a Key des Shinee
J ai hate de lire la suite

Désolé pour le retard, j'avais des examens!><



Chapitre 4


La vie se n’est pas se qu’on croit, la vie ce n’est pas une guimauve rose, moelleuse et douce au palais. Non, la vie ce n’est pas être heureux. La vie c’est du caramel, c’est dure, sucré mais attention à la cuisson, un peu trop et vous vous brûler pas assez, et vous n’êtes rien. En fait la vie c’est comme une recette de cuisine vous pouvez avoir tous les ingrédients pour la réussir et finalement la rater et puis vous ne savez pas pourquoi mais il y en a d’autre ils n’ont pas tous les éléments mais pourtant leur recette est délicieuse. L a vie ce n’est pas être heureux, c’est juste tendre vers, sans jamais être sûre d’y parvenir. Je me souviens d’un homme en haillon qui m’avait dit que le bonheur c’est quand les emmerdes se reposent. J’ai trouvé que cette phrase était adapté.
Est-ce que je suis heureuse je ne sais pas, est-ce que je suis malheureuse? Non je m’interdit de dire ça. Quand on se sent malheureux posé quelques questions aux proches autour de vous et soudain vous vous rendrez compte que votre charge n’est pas insurmontable.
C’est toujours dangereux de demander « comment ça va ? » au gens . On se sait jamais comment ils vont répondre.


« - Bon alors, vous me le donnez ou pas ce magazine!! « Dit la grand-mère
Moi je ne pouvais décoller mes yeux de ce bout de papier glacé, c’était la première fois que je le rencontrais. Ce jour là, j’ai rencontré le diable, pourquoi j’ai cédé, hein? Pourquoi j’ai dit oui!
Pourquoi ma raison a été déraisonnable?
Aï, voilà que ça recommence, cette brûlure, ça me fait affreusement mal! J’ai le souffle coupé!
Serais-ce mon cœur qui me fait si mal, est-ce donc cela une peine de cœur? Est-ce ce qu’on ressent lors d’un chagrin d’amour? Cette douleur est tellement présente, ça fait tellement mal, ça brûle, si ça continue je vais hurler.
« Je suis confuse, en même temps c’est votre faute à ne jamais savoir ce que vous voulez! »
La grand-mère venait de m’arracher des main le journal en me coupent avec le papier .
Mon index était sanglant, cela m’avait entailler une bonne partie du doigt.
« Mais réagissez voyons, vous voyez bien que vous mettez du sang partout! Enlever votre doigt du dessus de mes genoux! »
Attendez là, elle, elle a le droit de me baver dessus alors que pour une goutte de sang sur son châle miteux elle va me faire un scandale! Mais dîtes donc c’est bien elle qui m’a fait saigner en tirant sur le magazine! Qu’elle le prenne son magazine! Elle peut bien le garder, j’en ai rien à fiche! Ce journal, je le hais, je le hais de tout mon corps, de tout mon cœur, de tout mon être!
Une vague de sanglot m’envahit, je n’arrivais plus respirer, je pleurais et pleurais, je n’arrivais plus à arrêter.
« -omo! La voilà qui se met à pleurer! Mais vous allez vraiment pas bien ma ptit dame! Pleurer pour ça, ah non mais j’aurais vraiment tout vue. 
-un mouchoir, vous avez pas un mouchoir? Dis je en cherchant un mouchoir dans mon sac.
- si tenez »
Elle avait donc une once de remord
« -merci, je vais allez rincer mon doigt »
La mamie me laissa passer. J’ai l’air fine avec ma poupée au doigt! Au non, il y a la queue aux toilettes, il va falloir que j’attende

Flash:
Je me suis assise sur la chaise en face de lui, je le regardais dans les yeux mais il fuyait mon regard. Mais que cache-t-il? Pourquoi cet air gêné? Vraiment bizarre comme garçon!
« - je, je , je suis désolé de vous dire ça, mais heu! Ha, tellement embarrassant! Dit-il »
ou là, c’est moi qu’il lui fait cet effet? Eh bien, c’est la première fois que je fais un quelconque effet à un garçon!
C’est vrai, je suis pas vraiment belle, même pas jolie! Mignone? Non pas mignonne non plus, moi les trucs gnangnan, c’est pas mon truc! C’est vrai on m’a jamais dit que j’étais belle! Jamais! Je vous jure! Enfin si mes parents et la famille, mais ça compte pas! Si il me manquais un œil et que je portais un sac poubelle sur la tête, ils me diraient encore que je suis belle! De vrai menteurs oui!
« -allez dîtes le, ne vous sentez pas gêné, on a le même âge! Dis-je
- vous êtes assise sur mon sac « 
Là, je suis vraiment gêné, je me lève et voie son sac en cuir. Bon, ça part mal! Je lui tend son sac avec un léger sourire .
« -désolé
-non, ne soyez pas désolé. Enfin si il n’a plus aucune forme, mais.. »
Voilà maintenant qu’il a vu mon sac de marque il croit que je roule sur l’or, avec sa tête de gang il veut me tirer de l’argent.
« - bon, bin, merci encore pour le sac et au revoir »
Je commence à prendre une lanière de mon sac et à la tirer 
- non mais attend, c’est pas ça, c’est juste que allez, assis toi » dit il en attrapant l’autre lanière
Mais c’est qu’il est tenace, il veut vraiment mon argent
« - c’est mon sac, je le prend si je veux »
Je fait deux pas en direction de la porte de sortie en tirant sur la lanière, quand soudain, quelque chose m’emporta vers l’arrière, un peu comme si j’était une poupée attaché à un yoyo, direction la case départ. Il avait tiré sur la l’autre lanière. Je m’effondre parterre
« -non mais ça va pas la tête! Tu veux me tuer ou quoi? Lâche mon sac tout de suite, il ne t’appartient pas! Lâche je te dit, je te donnerai rien j’ai pas d’argent! »
Mais si qu’il continue à tirer! Il est hors de question que je lâche! C’est mon sac, que j’ai eu pour mon anniversaire! Soudain il se met à lâcher la lanière, et moi je retombe, les fesses parterres.
Mais qu’est qu’il à soudain?
Moi je perd ni une ni deux, récupère mon sac et part, même pas un regard en arrière pour cet abrutit,. En plus il parlait trop vite en anglais, je ne comprenais qu’un mot sur deux.

Fin du flash
Mais que qu’il fait ce bonhomme, il repeint l’intérieur des toilettes ou quoi?
J’aurai dû m’en douté ce jour là, qu’il y avait quelque chose de louche, mais dans l’élan je n’ai rien vu.
Le petit garçon devant moi sautille dans tous les sens avec un Spiderman dans la main, il a des lunettes à la Harry Potter, ça lui fait des yeux rond énormes! De vrai billes!
« -Est-ce que tu aimes jouer? Me demanda-t-il
- ça dépend avec qui! Répondis je
J’aime bien jouer, mais pas être le jouet de quelqu’un d’autre! Là est la nuance!
- alors tu veux jouer avec moi?
- tu joues à quoi?
- à faire sortie le monsieur des toilettes.
- c’est un jeu qui me plait bien! Quelles sont les règles?
- quand un personne passe plus de 7 minutes aux toilettes je la fait sortir. Le monsieur ça fait 10 minutes! Alors je vais le faire sortir! Je te montre. »
D’un seul coup il s’est mis à courir en direction de la cabine de toilette, et à commencer à frapper sur la paroi! Il criait tout en frappant «  vite!!!! Sortez!!! Il y a des perturbations!!! Il faut que vous portiez un masque à oxygène!!!! Attention encore un trou d’air! » et il s’est remis de plus bel à frapper sur la paroi!
D’un seul coup on vit le monsieur surgir des toilettes, l’air affolé et le pantalon à ses pied. Il commence à courir tant bien que mal en remontant en même temps son pantalon puis son regard se confronte bien vite à celui des gens qui font la queue. Notre regard froid à soudain pris place gagnante contre le sien apeuré! Tout gêné il remonte son pantalon, pointe du doigt le petit garçon et se met à courir après lui en jurant et insultant par tout les mots ce petit bout de chou. Le petit s’est mis à d’étaler en courant avec un cri d’exitement plus que de peur. J’étais morte de rire!

Flash:
Je me souviens de son jeu, plus ça va et plus je le comprends. C’était bien pensé! Quand je suis sortis de ce café, pas une seul seconde je n’aurais pensé le revoir, pas une!
Mais lui avait apparemment prévu! C’est ainsi qu’après cette mésaventure j’ai décidé de rentrer à pied chez ma copine pour en profiter pour faire les magasins! Je suis rentrée dans un magasin de chaussure à faire rêver toute fille de son âge, les murs étaient recouverts de boite de chaussures! On avait l ‘impression d’être un minimoy enfermé dans une immense boite à chaussure!
D’un seul coup en me regardant dans une glace pour voir si la paire me va j’aperçois dans l’arrière une silhouette aves une écharpe et une casquette! Faut vraiment être taré par ce temps là!
Apres être sortis avec mes sacs de shopping je continue mes emplettes en rentrant dans un magasin de vêtement très stylisé! Et là que vois-je! Encore cette silhouette derrière mon dos!
Trop stressé pour finir mes achats je continue mon chemin vers la maison en regardant de temps à autre dans le reflet des vitrines! Et à chaque fois je le vois! Je commence à paniqué!
La maison est vraiment loin, c’est bizarre, je n’avait pas vu cette intersection à l’allée, ni ce parc! Oh là là! Je le sens mal! Comment faire!
Ni une ni deux, je me met à courir en direction du parc! Je fais comme dans les films:
Possibilité 1: je le sème dans le parc
Possibilité 2: mon sauveur arrive au moment fatidique, happy end kiss et fin de l’histoire.
Je cour comme une dératé et m’enfonce dans ce parc inconnu, j’entend derrière moi des bruits de pas de plus en plus rapide. OMG! Il me poursuit! Alors je m’embranche dans un chemin annexe du parc, et me cache derrière un arbre! Dans les films ça marche toujours! J’ai à peine le temps de reprendre ma respiration que je sens soudain une main sur mon épaule! Non! Cet homme est encore là!
« - au secoure ! Aidez moi!!!!!! Criais je
- arrête de crier! Personne ne comprend l’anglais ici! »
Soudain j’ai une once d’intelligence et sors mon mini dico de coréen de ma poche
« -도와 줘요, criais je de plus belle
- non mais ça va pas! T’es vraiment pas bien! Arrête ça! Tu ne me reconnais pas? »
Soudain je fixe ces yeux cachés entre l’écharpe et la casquette.
« - le mec louche du café! Oh non! Maintenant que mon tueur m’a montré son visage il va être obligé de me liquider pour que je n’avoue rien à la police!
-oh redescend sur terre! On est pas dans les livres! Tu avais oublié ton portable, je suis venu te le rendre!
- et pourquoi tu m’as espionné alors hein? Tu voulais me voler mon argent?
- non mais ça va pas toi! J’en ai rien à fiche de ton argent, je paris que j’en ai plus que toi!
-alors pourquoi ne pas me l’avoir rendu dés le début au lieu de me suivre?
- et oh! Ça va l’interrogatoire! Je n’allais qu’en même pas rentrer dans un magasin de chaussure réservé pour femme ou un magasin de vêtement pour femme!
-Je vois pas où est le problème! 
- Allez Lou soit gentille, arrête!
- attend comment tu sais comment je m’appelle! Tu as fouillé dans mes affaires?
-dit moi, est que ça t’arrive de réfléchir! Comment tu aurais pu récupérer ta valise si je ne connaissais ni ton nom ni ton prénom! Et puis ton prénom est écris en gros sur l’étiquette de ta valise!
- Je ne veut pas que tu sois le seul à connaitre mon prénom! Tu pourrais t’en servir! C’est quoi le tiens?
- Kim kibum »
Après une petite discussion, quelque peut mouvementé, je me suis décidée à prendre le chemin du retour vers la maison! Sauf que voilà, la maison je ne sais pas où elle était!
Heureusement j ‘avais pris le soin de noter l’adresse sur un bout de papier au cas où pour pouvoir rentrer en taxi. Le seul problème, c’est que je ne trouvais plus ce petit bout de papier! Je l’avais sûrement perdu durant la course.
En fait faut que je vous dise, il pas si méchant que ça, c’est juste que sa gentillesse de se voit pas au premier coup d’œil. On a cherché se fichu papier dans tous le parc, mais impossible de le retrouver. En plus le soleil tombait, alors on a décidé d’arrêter les recherches et d’appeler Na HYE, mais comble de mal chance, mon portable n’avait plus de batterie. Eh oui, mon chargeur était dans le sac, du coup je n’avait pas pu recharger mon portable de toute la semaine.
Je n’en pouvais plus, j’en avais marre, c’était pas vraiment ma journée. C’est pas vraiment mon genre de pleurer, mais si j ‘avais pu, je l’aurais fait.
Il m’a regarder attristé et m’a dit avec un sourire au coin
« -Tu sera la première clocharde occidentale avec un sac puis-t- on de corée! félicitation! »
Je n’ai pas répondu, je n’avais plus de courage
« - tu me réponds pas! Tu es si triste que ça? Allez viens on va trouver une solution! » il me pris le bras et on pris un taxi.

OMOOO J'aime de plus en plus !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
La grand-mère commence à m'énerver!!!!! T.T
Par contre, j'adooore le petit garçon !! =D

Kyaaaaaaaaa Ki Bum !!!!!!!!!!!! je m'attendais pas du tout à lui O.O

Mercii pour la suite !!!!!!!

Ahhhh j adore Kim kibum je pensais pas a lui j attends la suite

pfou, s'oulagée! à chaque fois que je poste un chapitre, c'est comme si je passais un examen! J'attend toujours vos commentaires! mdr

ne t inquiete pas c est geniale

oua!!!!!!!!!!!!!!!! Plus de 200 personnes ont parcouru les pages! j'en reviens pas! grand merci! petit cadeau: vous vous trompez de star! et attention aux rebondissements!