Chapitre
« Le bonheur est comme ces palais des iles enchantées dont les dragons gardent les portes. Il faut combattre pour le conquérir, et moi, en vérité ,je ne sais en quoi j’ai mérité ce bonheur » comte de Montecristo
Quelle belle phrase, quelle belle citation. Moi aussi un moment, j’ai cru être heureuse, je n’ai pas trop compris pourquoi j’étais si heureuse, mais sur le moment….je n’y avais pas pensé. Mais c’est vrai, qu’être heureuse si subitement sans batailler, est tellement étrange, j’aurai dû m’en douter, me méfier !
Je sortais de l’immeuble par la sortie de secours comme tous les jours, je pars seule alors que je vais au même endroit que na hye mais dans des lieux publiques ont fait semblant de ne pas se connaitre pour qu’elle ne subisse pas des affronts comme les miens. Je regrette les jours où on y allait à deux tranquillement, je passais une heure à la convaincre de ne pas y aller en voiture pour des raisons banales comme les embouteillages, le manque de stationnement. .Et on finissait par y aller en bus tranquillement, à se faire saucissonner dans un bus entre une mémé qui décide de faire ses courses aux heures de pointe pour avoir autant de sensations fortes que si elle faisait du rafting et un homme qui avant d’aller travailler passe une heure sur son téléphone portable. Ah ! c’était le bon temps !
Je traversais la rue, et monta dans un van noir.
« - bonjour ! dis je en m’installant
- Vous avez passé une bonne soirée ? me demanda le chauffeur
- Oui, très bien et vous ?
- Bien merci
- Vous n’avez pas eu trop de problèmes ce matin ? demandais je
- Oh, comme d’habitude, quelque tags, des petites insultes, rien de bien méchant. Cela n’est pas pire que le jour ou lors d’une émission vous avez joué au peperro. »
Il démarra, et je vis devant la porte de l’immeuble, une poignée de collégienne, lycéennes et même deux autres grandes filles plus grandes en train de hurler des insultes.
Je suis toujours mal à l’aise en voyant ça, je pense aux habitants de l’immeubles qui entendent des insultes à leur fenêtre à longueur de journée, et aux filles qui ne peuvent profiter du van pourtant bien confortable. Ça me rends malade, de ne pas pouvoir être tranquille dehors, bien sûre quand je suis de l’autre côté de la ville, dans un parc où les personnes âgées viennent se balader, et que j’ai une écharpe qui me couvre une partie du visage, alors là oui, je suis bien, je peux rêvasser assise sur un banc.
Deux feux rouges plus tard j’aperçu par la fenêtre la voiture de nahye. Elle a décidé de venir en voiture ? où là ! ça doit être un jour spécial. Elle regarda dans ma direction un air attristé au visage. Je lui fis tout sourire, un coucou avec ma main. Ah, zut j’avais oublié que ce sont des vitres fumées, elle ne risque pas de me voir !
« - mademoiselle n’oublier pas, que vous ne devez pas manger à midi.
- Mais, mais, je vais avoir faim ! et si je tombe dans les pommes ? dis je avec un air renfrogné, entourant mes bras autour du siége de devant, celui où il n’y a pas le conducteur.
- Ecoutez un peu votre coach santé ! vous voulez qu’on dise de vous que vous êtes grosse dans les magazines ? pensé au photoshoot de 14h, on ne mange jamais avant un photoshoot afin d’avoir un ventre plat !
- Hum, mais quand même une bonne tartine de nutella…. Dis je en me léchant la lèvre supérieur.
- Je viens vous cherchez à 12h30, on y serra à 13h30, et vous aurez une demi heure pour être pomponné. Le photoshoot se finira à 16h et nous partirons ensuite à la Sm où il y aura une interview avec key pour un magazine. Vous aurez finis celle-ci à 17h. nous roulerons ensuite comme des fous pour arriver aux studio en banlieue, où de 19h à 22h vous aurez tous les deux une émission. puis le temps de quitter le plateau de vous changer, démaquiller, dire au revoir vous serez chez vous vers minuit.
- Encore une belle journée dis je ironiquement, encore une journée où je ne vais pas manger….encore une journée au paradis ! dis je ironiquement. Ou en enfer…
- De toute manière le coach a dis que vous devez perdre 7 KILOS….
- Rrrrrrrrr, mais quand comprendra t il que je ne suis pas une snsd ? je suis désolée, un repas par jour, ce n’est pas suffisant pour moi, j’ai des besoins… je…heu
- Quoi vous n’êtes pas heureuse ?
- Si..dis je en regardant par la fenêtre vers la voiture de nahye, si…si bien sûre. Mais enfin parfois une journée, normale, complète à la fac ça me manque. En plus aujourd’hui c’est le match inter classe de foot….et l’équipe des profs joue. .J’aurai bien aimé voir mes profs jouer au foot…
- Et key, vous pensez à key ? Il fait ça tous les jours, toute la journée !!! et en plus il a les répétitions des chorégraphies, des chants, les cours de chants….
- Je ne pensais pas que ce serait comme ça…. »
Le feu passa au vert, et le van démarra rapidement, laissant derrière la voiture de na hye.
Maintenant qu’il y a tout ça, que je rentre tard tous les soirs…j’ai bien vu, qu’il y avait un gouffre qui ce créait entre moi et les filles. Elles ne me disent pratiquement rien, je ne sais pas si c’est parce qu’elles croient que ça ne m’intéresse pas, ou par peur de me fatiguer avec leur histoire. Quand je rentre, elles dorment, regardent la télé ou font le puzzle. Parfois elles rigolent toutes les deux,je les regardent dans une incompréhension la plus totales et elles me disent « tu ne peux pas comprendre ».
« je ne peux pas comprendre », rah, ça raisonne dans ma tête comme un écho sans fin. Avant elles ne me disaient jamais ça, avant nahye me racontait ses problèmes avec mina, avant, lanamie me lisait ce qu’elle avait écrit dans son journal. avant. Avant, ce n’était pas forcément le paradis, mais à présent je me rends compte, que je rêve de ces moments comme on rêve de son enfance. Un sorte d’image un peu illusoire, mais tellement douce qu’elle pourrait adoucir n’importe quel cœur.
Le minibus arriva sur le parking de l’université, je m’apprêtais à sortir, quand une parole du manager m’arrêta.
« - ah et n’oublier pas votre diet. ! »
Je soupirai lourdement, avant cela aurait fait légèrement voler ma frange, mais vu que le coiffeur me la couper…. Je sortis donc du van. Au même moment, juste en face de moi, nahye venait de sortir de sa voiture qu’elle venait de garer. On se regarda un instant face à face.
J’aurais voulu la rejoindre, lui demander par quelle cour elle commençait, si on se buvait un café devant la machine habituelle, si elle avait des potins sur les profs ou les élèves, si elle allait assister au match de foot entre les élèves de deuxièmes années de droit contre les profs.
Mais non, je ne pouvais rien dire de tous ça, parce que si elles apprennent qu’elle est mon amie…non, je ne peux pas lui faire encourir ce risque. C’est moi la criminelle qui ai osé aimer quelqu’un qui était interdit d’aimer autrement que par fan attitude. Sauf que moi, je ne savais pas.
Je la regardais avec un regard attristé, et marcha vers l’entrée, sans ne lui prêter aucun autre regard. Je ne dois pas marcher à côté d’elle, je ne dois pas lui sourire, je ne dois pas lui parler, j’ai trop peur qu’elle subisse les foudres des fans… Je brûle d’aller lui demander comment va lanamie. Elle l’a déposée au feu rouge, c’est son premier jour de thérapie.
Soudain, j’entendis un bruit sourd, un bruit effrayant. La catégorie de bruit qui bien que vous ne le connaissez pas, vous alerte d’un danger. J’entendis des bruits de verres, de glaces tomber par terre.
Je me retournais et vis un groupe d’anti fans armées de battes de baseball taper la voiture de nahye, ondulant la carrosserie, brisant toutes les vitres.
Je me mis à hurler de peur, et vis nahye effrayée, accroupie se protégeant la tête avec ses mains. Je me mis à courir tout en hurlant :
« - bande de cinglées ! mais vous n’avez rien de mieux à faire ! mais pourquoi elle, elle n’a rien fait ! »
Elles se mirent à courir, s’enfuyant ainsi bien loin. Je mis la main dans le dos de nahye et l’aida à se relever.
« - ça va ? lui demandais je
- Je….je, oui ça va.
- Mais comment tu peux dire que ça va ?! comment ! bien sûre que non ça ne va pas ! Ils s’en prennent à toi, à vous, non, je subissais déjà trop de choses, s’ils s’attaquent à vous maintenant…Non, il hors de question, j’arrête tout. Je ne veux plus jamais en entendre parler. Mais pourquoi elles ont fait ça ? C’est finis, on arrête, on arrête tout.
- Elles m’ont, dit qu’elles te feront arrêter de le voir par tous les moyens.elles ont dit que si tu as un cœur, tu arrêteras pour protéger tes proches. »
On marcha sur les bris de glaces échoués au sol, ce qui faisait émaner un bruit de craquement sous nos chaussures. Des étudiants vinrent voir ce qui avait provoqué ce bruit effroyable et un attroupement ce forma.
Maintenant que nous étions un peu plus loin, là où il n’y avait plus de débris de verre on contemplait la carcasse de la voiture.
Je me mis à pleurer.
« - mais qu’est ce que j’ai fais ? qu’est ce que j’ai fais pour mériter ça ? je suis désolée na hye, tellement désolée. Dis je d’une voix méconnaissable. »
Elle me donna un mouchoir et dit d’un ton sûre en contemplant le désastre.
« - ne pleure pas, ne leur fais pas ce plaisir. Tu veux te voir pleurant, ton maquillage dégoulinant tapisser tous les murs de cette ville ? allons regarde, il y a déjà les paparazzis.
- Mais qu’est ce que tu dis ? Qu’est ce que j’en ai a faire ! tu n’es pas plus choquée que ça par ce qu’il vient de se passer ?
- Lou, nous ne sommes plus du même monde, tu es une célébrité, comporte toi comme tel. Ton erreur ce n’est pas de sortir avec une star, c’est d’avoir des amis qui ne font pas partis de cette catégorie qui en est une. »
Du personnel arriva, télèphone à la main. Quelques secondes plus tard, une voiture de police arriva suivie d’un engin spécial pour déplacer ce qui était maintenant qu’un tas de ferraille.
Les agents de polices vinrent prendre notre déposition.
« - Il va falloir nous suivre au commissariat pour faire le reste des papiers dit un des agents ouvrant la porte arrière de sa voiture. »
Na hye entra et s’assit, j’étais pour rentrer quand elle m’arrêta.
« - Non Lou, ce ne sont pas tes affaires.
- Mais c’est à cause de moi qu’ils ont fait ça ! Et puis Je suis ton amie.
- Plus maintenant dit elle en fermant la portière dont la vitre était ouverte. Maintenant tu es une star. Et puis tu l’aimes n’est ce pas ? Je peux supporter ça, si c’est pour que tu vives ton histoire d’amour. Me dit elle dans un sourire qui ce voulait tendre»
La voiture partie sans moi. Mais qu’est ce que j’ai fait, qu’est ce que j’ai fait ?
Est-ce que je l’aime suffisamment pour subir tout ça ? est ce que je l’aime suffisamment pour faire subir ça à mes proches ? mais quel crime j’ai bien pu faire….Mais comment ils font les autres stars pour cacher leur histoire d’amour durant 7 ou 10 ans ? Je sentis une main se poser sur mon épaule, je sursautais et me retourna.
« - vous ? fis je
- Oui, un manager est fait pour ça. Rentrer dans le van, nous allons à la SM, pour régler ce problème. »
Je passais la porte de la SM, me dirigea tout droit vers la salle d’enregistrement. Je vis key le casque sur les oreilles en train de chanter devant un micro derrière une glace. Il est dans une pièce insonorisée entouré par ses 4 acolytes. Je poussais l’homme d’une quarantaine d’année assis sur un tabouret en train d’enregistrer les pistes. Enervée, pleine de rage, pressée d’en finir, virer l’homme faisant le triple de mon poids assis sur un tabouret ne me posa aucun problème.
Je m’assis à sa place.
« - Mais ils sont en plein enregistrement !! dit interloqué l’homme n’essayant néanmoins rien pour m’arrêter voyant mon regard.
- C’est urgent dis je. »
Les chers shinee pris dans leur enregistrement regardaient leur paroles sur le porte partition, ou bien fermaient les yeux. Aucun d’eux m’avaient vu rentrer. Je saisie le micro, et toqua à la vitre qui nous séparait.
« - key, kibum, enfin n’importe comment je dois t’appeler, écoute moi bien la super star qui n’a pas le temps de voir sa copine mais qui lui faits des ennuis à longueur de journée ! »
Les garçons levèrent tous la tête et me fixèrent avec des regards surpris. Key se désigna du doigt en haussant les sourcils, comme si de cette manière, il mettait un point d’interrogation.
« - oui toi ! dis je. C’est finis, ok ? au revoir ! J’ai jamais voulu ça, je ne veux rien de ce qui arrive. C’est trop dangereux de t’aimer. Je suis désolée, je suis trop faible, je ne t’aime pas assez pour supporter ça. »
Le micro grésilla, taemin ouvrait la bouche en grand tellement il était sidéré, onew me regardait comme si je tombais d’une autre planéte.
Kibum s’approcha de la vitre froide. Il était juste en face de moi, quelques centimètres de glace nous séparait, séparait…elle délimitait le monde de chacun, nous empêchait de communiquer. Cette glace nous empêchait de nous toucher.
« - Pardonne moi, mais ici, tout ce fini, tu ne peux pas savoir comme j’ai cru qu’on pouvait être heureux. Mais en fait, je ne suis pas une star, je ne l’ai jamais été. Je fais partis des gens normaux, ceux qui sont amis avec na hye, ceux qui mangent ce qu’ils veulent, ceux qui dorment plus que trois heures par jour, ceux qui voient leur petit copain plus d’une heure par jour, ceux qui peuvent sortir en plein jour sans crainte. »
Je mis ma main à plat sur la vitre gelée, et commença à pleurer. Je n’ai jamais pleuré autant que depuis que je le connais. Il s’approcha encore plus près de la vitre et colla sa main lui aussi contre la glace. Nos mains serraient collées si la vitre ne les séparaient pas, je sentirais la chaleur de sa peau si il n’y avait pas cet infime mur qui nous séparait. J’ai l’impression de parler à un prisonnier. Il s’aperçu qu’une larme roulait sur ma joue, il fit semblant avec sa main d’essuyer mes larmes. Mais la glace était là.
« - regarde toi, tu es ridicule. Qui de nous deux est le plus libre ? Tu es dans une prison de verre. Tu as les paillettes, j’ai la liberté. Quel est le plus important ? Dis moi, est ce que tu m’aimes au moins ? je suis quoi pour toi ? juste une personne qui permet de faire augmenter le nombre de plateau télé que tu fais ? »
Il eu l’air ulcéré par mes propos. Il plaqua ses deux mains contre la vitre et posa ces lèvres sur la vitre juste au niveau de mes lèvres. Comme s’il m’embrassait, sauf que voilà, la paroi était toujours là. Je regardais un instant ses fines lèvres collées sur la paroi. Je touchais avec deux doigts la vitre, faisant comme si je caressais ses lèvres. J’ai dit ce que j’avais à dire. Je me retournais, l’homme de 40 ans dans mon dos, ne sut rien faire d’autre que de me tendre un mouchoir.
« - merci lui dis je dans un sourire de politesse. »
Je sortis de la pièce et pris l’ascenseur . s’il était sortis en courant de sa bulle vitré, s’il m’avait rattrapé, et m’aurait empêché de partir. Si au moins il avait essayé de me retenir alors j’aurais fait semblant de courir moins vite. Si au moins il avait fait semblant de me retenir, de tenir à moi, alors peut être que j’aurai abandonné. Je descendis de l’ascenseur, et pour cacher mes larmes baissais la tête, fixant le sol, pour que personne ne voit. Mais mes larmes coulaient tellement que je voyais trouble. Je sortis, les portes automatiques s’ouvrirent. Je ne voyais plus très bien le sol, trop d’eau s’échappait de mes yeux. Je marchais soudain sur quelque chose de plus mou que le sol.
« - aie !!!
- Désolée m’excusais je, désolée de vous avoir marché sur le pied » Je relevais la tête pour m’excuser correctement.
« - heeyoon ? Mais qu’est ce que tu fais là ? »
Il me regarda un instant, prenant conscience de mon état j’essuyais mes larmes. Il ne dit rien, ne me répondit pas, et entra à la SM.
Il rentre à la SM ? mais mais.. Je crois devenir folle, il fait partis de la SM ? que vient il faire ? pourquoi je le vois partout en ce moment ? est ce des hallucinations ?
J’appellais le premier taxi et rentra à l’appartement. Je veux une vie simple, est ce si compliqué à comprendre ? à avoir ? simple ! Une histoire d’amour tranquille sans prise de tête, aimer quelqu’un de normal, n’avoir aucun rôle à jouer, et vivre comme des millions gens. Je veux vivre comme des milliards de gens font tous les jours ! est ce si compliqué ?
Arrivé dans l’appartement, je vis le courrier sur la table. J’ouvris la lettre qu’il y avait parmi le tas de publicité. Oh ! une facture !!!!!! Une facture de…..20000 euros ! mais c’est quoi cette facture ? Mais comment on peut payer ça ? Je lisais plus précisément le papier, c’est le cout de la thérapie de Lanamie, les médicaments, les test, scanners et IRM ..Mais comment on va faire pour payer ça ? D’accord je sais que je gagne un peu d’argent avec mes activités mais, je n’arriverai jamais à couvrir tout ces frais…Je sais que Lanamie tient à cette thérapie, elle a mis beaucoup de temps à se décider. Et elle vient juste de la commencer ce matin. Je ne pas lui dire d’arrêter, je ne peux pas lui dire de faire ça. Elle y tient tellement, on a tant d’espoir dans ce traitement. Je ne pas…je ne peux pas lui dire de faire une croix sur son seul espoir de retrouver ses souvenirs, qui elle est… mais comment va-t-on faire ?
Mon télèphone sonna je décrochais :
« -allo ?
- Bonjour, SM directeur.
- Oui, bonjour
- J’ai entendu parler de ce qu’il c’était passé, je dirai même que tout le monde ici est au courant.
- (je gardais le silence)
- Allo ? »
Je pris une grande inspiration et pris mon courage à deux mains.
« - écoutez voilà, j’ai pris une décision. Faites moi disparaitre de tout les médias, je ne ferai plus de télé, de radio, d’interview, de photoshoots, de…quoique ce soit. Je disparais ! est ce compris ? Oubliez les vans, les managers, les coachs, les stylistes, maquilleuses, coiffeuses….
- Ecoutez j’ai conscience de votre désarroi mais j’ai peut être une solution. Est-ce que vous aimez toujours key ?
- Est-ce que vous vous occupez toujours autant de la vie privée des gens ?
- Les stars n’ont pas de vie privée.
- J’avais remarqué.
- Voulez vous régler tous vos problèmes d’un coup ?
- C’est-à-dire ?
- Seriez-vous heureuse de ne pas avoir d’anti fans, de pouvoir voir key une journée par semaine, de gagner de l’argent ? »
J’hésitais…Dans quoi veut-il m’emmener ? en même temps si je refuse…lanamie compte sur moi, je dois trouver l’argent nécessaire. Et puis na hye n’a plus de voiture par ma faute, ça serait bien si je pouvais lui en racheter une.
« - combien ? demandais je
- Autour de 100 000 euros »
Ça couvrira les frais de traitement de Lanamie pour plusieurs mois. Mais pourquoi en corée, ils n’ont pas de sécurité sociale !!!! et puis je pourrais acheter une nouvelle voiture à nahye…
« - C’est d’accord dis je. »
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